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Critique de Seraphita
Rohel le Vioter, princeps d'Antiter, poursuit ses pérégrinations de mondes en mondes. Débarrassé du poison du Jahad, grâce à Dame Asmine d'Alba (Cf. tome 1), il cherche à rejoindre la Seizième Voie Galactica où l'attend la féelle Saphyr d'Antiter, sa bien-aimée, prisonnière des Garloups du Cartel de Déviel. Saphyr ne sera libérée qu'à la condition que Rohel délivre aux Garloups le Mentral, la formule mentale, ayant appartenu à l'église du Chêne Vénérable, à la puissance dévastatrice qui permettra aux Garloups de conquérir l'ensemble des mondes recensés et de les asservir à leur coupe. Mais comment être sûr que les Garloups, une fois en possession de cette formule magique, n'élimineront pas Rohel ? Afin de les combattre, il lui faut conquérir une arme invincible, l'épée magique de Lucifal, détenue par la magicienne Cirphaë, « l'épée forgée par des dieux oubliés et trempée dans la lumière de la création. […] L'épée qui servit à vaincre les démons primitifs, l'épée dérobée par la magicienne Cirphaë et férocement gardée par les exilés du Temps » (p. 74). Rohel va parcourir les mondes enténébrés pour obtenir Lucifal et pouvoir enfin s'attaquer aux Garloups…
J'ai poursuivi la lecture du second tome des aventures de Rohel, composé de 5 livres, avec grand plaisir. Mon impression première se confirme : l'auteur déborde d'imagination et ne nous lasse à aucun moment, créant des concepts nouveaux, des situations et paysages originaux, des peuplades sympathiques ou repoussantes, terriblement humaines. Sur tous les mondes qu'il est amené à fréquenter, Rohel rencontre une femme, jeune et séduisante, qui va avoir un rôle important dans la survie de son peuple et qui va être initiée par lui, sur les plans tant physiques que culturels. Rohel rencontre partout les superstitions et le fanatisme, l'obscurantisme. Ainsi que je l'avais souligné à l'occasion du premier tome, le suspens quant à l'avenir du héros n'est pas à son comble : s'il subit de nombreuses blessures, nous savons qu'il ne va pas mourir, en témoigne son épopée. Mais avec chaque livre, c'est un nouvel imaginaire qui est ouvert au lecteur, même si des éléments de base (l'obscurantisme, la femme initiée, le peuple sauvé) reviennent. C'est avec un plaisir non dissimulé que je vais achever l'épopée de Rohel le Vioter par la lecture du troisième tome.
J'ai poursuivi la lecture du second tome des aventures de Rohel, composé de 5 livres, avec grand plaisir. Mon impression première se confirme : l'auteur déborde d'imagination et ne nous lasse à aucun moment, créant des concepts nouveaux, des situations et paysages originaux, des peuplades sympathiques ou repoussantes, terriblement humaines. Sur tous les mondes qu'il est amené à fréquenter, Rohel rencontre une femme, jeune et séduisante, qui va avoir un rôle important dans la survie de son peuple et qui va être initiée par lui, sur les plans tant physiques que culturels. Rohel rencontre partout les superstitions et le fanatisme, l'obscurantisme. Ainsi que je l'avais souligné à l'occasion du premier tome, le suspens quant à l'avenir du héros n'est pas à son comble : s'il subit de nombreuses blessures, nous savons qu'il ne va pas mourir, en témoigne son épopée. Mais avec chaque livre, c'est un nouvel imaginaire qui est ouvert au lecteur, même si des éléments de base (l'obscurantisme, la femme initiée, le peuple sauvé) reviennent. C'est avec un plaisir non dissimulé que je vais achever l'épopée de Rohel le Vioter par la lecture du troisième tome.
