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Critique de cocomilady
Un roman fantasy correct, mais sans grande originalité.
Après l'Apocalypse qui a dévasté une grande partie de la population, quelques royaumes ont réussi à survivre dans la crainte les uns des autres, mais dans une paix toute relative. C'est alors que vont ressurgir les hurleurs, une armée des ténèbres guidée par un mage noir immortel à la solde d'un Dieu de la dévastation. Ces créatures infernales vont semer le chaos et la mort sur leur passage, leur but ultime étant de compromettre la vie et ainsi asseoir encore plus la domination de ce Dieu de la Mort et de son sbire. Seul rescapé de l'attaque qui a détruit son royaume, le prince Farkhar va alors entamer un long périple, qui remettra en question tout ce qu'il croyait connaître du monde, et lui fera en chemin rencontrer l'amour...
J'ai eu un peu de mal à vraiment entrer dans l'histoire, tant à cause de descriptions sans fin, de scènes un peu trop répétitives, que du manque de développement de passages essentiels à l'intrigue, ce qui rend plusieurs événements incongrus et difficiles à digérer.
Le plus intéressant dans ce roman est pour moi le voyage entrepris par le prince, ou plutôt le périple, dans ce monde aux mille dangers qu'il va découvrir.
Or tout va trop vite, tout comme les sentiments d'amour qui s'installent au premier regard et sans raison valable, puisque l'auteur ne prend jamais le temps d'étoffer les relations de ses personnages. Dur de se projeter ou de ressentir la moindre émotion.
De même, je n'ai pas compris l'intérêt d'un Prince poète et rêveur, ni l'amour irrésistible que ressentent toutes les femmes qui font sa connaissance, tant Farkhar ne fait et n'a rien d'exceptionnel pour expliquer de tels engouements. Impossible donc d'y croire et de se projeter.
Quant à l'intrigue en elle-même, elle est bien trop banale et sans grande surprise... comme c'est dommage...
En conclusion, je suis déçue et reste malheureusement sur ma faim, même si la plume de l'auteur se lit facilement et avec un certain plaisir par moments.
Après l'Apocalypse qui a dévasté une grande partie de la population, quelques royaumes ont réussi à survivre dans la crainte les uns des autres, mais dans une paix toute relative. C'est alors que vont ressurgir les hurleurs, une armée des ténèbres guidée par un mage noir immortel à la solde d'un Dieu de la dévastation. Ces créatures infernales vont semer le chaos et la mort sur leur passage, leur but ultime étant de compromettre la vie et ainsi asseoir encore plus la domination de ce Dieu de la Mort et de son sbire. Seul rescapé de l'attaque qui a détruit son royaume, le prince Farkhar va alors entamer un long périple, qui remettra en question tout ce qu'il croyait connaître du monde, et lui fera en chemin rencontrer l'amour...
J'ai eu un peu de mal à vraiment entrer dans l'histoire, tant à cause de descriptions sans fin, de scènes un peu trop répétitives, que du manque de développement de passages essentiels à l'intrigue, ce qui rend plusieurs événements incongrus et difficiles à digérer.
Le plus intéressant dans ce roman est pour moi le voyage entrepris par le prince, ou plutôt le périple, dans ce monde aux mille dangers qu'il va découvrir.
Or tout va trop vite, tout comme les sentiments d'amour qui s'installent au premier regard et sans raison valable, puisque l'auteur ne prend jamais le temps d'étoffer les relations de ses personnages. Dur de se projeter ou de ressentir la moindre émotion.
De même, je n'ai pas compris l'intérêt d'un Prince poète et rêveur, ni l'amour irrésistible que ressentent toutes les femmes qui font sa connaissance, tant Farkhar ne fait et n'a rien d'exceptionnel pour expliquer de tels engouements. Impossible donc d'y croire et de se projeter.
Quant à l'intrigue en elle-même, elle est bien trop banale et sans grande surprise... comme c'est dommage...
En conclusion, je suis déçue et reste malheureusement sur ma faim, même si la plume de l'auteur se lit facilement et avec un certain plaisir par moments.
