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Critique de LoupAlunettes
Ce "livre amoureux", nous pourrions le lire à un lectorat de 3 jeunes années, à coups de raccourcis et de rapides explications bien sûr devant les sourcils froncés des jeunes oreilles sur des mots inconnus et un état d'âme encore limité à "J'aime mon papa et ma maman".
Qu'aimes-tu d'autres, petit écouteur d'histoires? Pas comme tu aimes les frites et ton doudou, quelqu'un, que tu aimes bien, à qui tu aimerais donner la main et jouer avec?
Nos gaillards de 5 ans pourraient commencer à nous répondre, avec leurs petits mots tendres, des prénoms de copains et copines et saisir ce qu'il se passe dans la tête et le coeur de notre petit ouvrage rose.
Ce livre, il est morose, nous dit la souris qui continue de nous servir de médiateur depuis notre "livre en colère" et notre "livre qui dort".
Quand on est morose, on est rose?, pourraient-ils se demander, nos petits captifs d'imaginaire.
Quand on est un livre amoureux surtout, oui, mais on est triste surtout.
Ca ne fait pas mal mais c'est désagréable.
Que lui arrive t-il, à ce livre, petite souris qui sait tout?
Il est amoureux...de toi, lecteur!
Alors aime le en retour et prouve le lui, tourne ses pages, profite de son histoire et relis le sans te priver d'y retourner.
La stratégie reste la même qu'avec les deux albums cartonnés précédents, prêtant au livre une vie propre et des sentiments.
Il faut toujours l'aide de la petite souris pour lui faire sortir les vers du nez et savoir ce qui préoccupe notre petit livre en émois.
Pas de changement de couleurs avec l'expression des sentiments comme avec la colère toute rouge, mais un jeu de mots qui enrichira le vocabulaire des petits, morose, terme d'un sens si gris mais si doux à dire pourtant.
Bourgeau rajoute de la douceur avec une impression de fond en laine très agréable. Un livre bonnet, un livre pull, un livre moufle qui tient chaud?
Et l'aveu se termine en plus par un bisou, alors que demander de plus?
Les joues du livre amoureux se teinte de rouge tout de même, on le serrerai presque dans ses bras avant de le déposer dans son rangement.
Mais n'est-ce pas ce que nous faisons déja, lorsque nous sommes ravis de l'avoir trouvé ce livre cherché, que nous ne voulons le partager?
Ah l'amour...
Le processus n'est pas nouveau certe mais peu importe.
Lorsque l'on tombe en amour avec les deux premiers de Ramadier, il y a inévitablement une veine creusée et de la place accordée à ceux qui viendront, d'autres livres qui ont envie de nous confier des choses avec tendresse et couleurs, que nous avons envie d'animer, nous grands lecteurs pour les petits.
Moins surprenant que les autres mais toujours un vrai plaisir à lire.
Qu'aimes-tu d'autres, petit écouteur d'histoires? Pas comme tu aimes les frites et ton doudou, quelqu'un, que tu aimes bien, à qui tu aimerais donner la main et jouer avec?
Nos gaillards de 5 ans pourraient commencer à nous répondre, avec leurs petits mots tendres, des prénoms de copains et copines et saisir ce qu'il se passe dans la tête et le coeur de notre petit ouvrage rose.
Ce livre, il est morose, nous dit la souris qui continue de nous servir de médiateur depuis notre "livre en colère" et notre "livre qui dort".
Quand on est morose, on est rose?, pourraient-ils se demander, nos petits captifs d'imaginaire.
Quand on est un livre amoureux surtout, oui, mais on est triste surtout.
Ca ne fait pas mal mais c'est désagréable.
Que lui arrive t-il, à ce livre, petite souris qui sait tout?
Il est amoureux...de toi, lecteur!
Alors aime le en retour et prouve le lui, tourne ses pages, profite de son histoire et relis le sans te priver d'y retourner.
La stratégie reste la même qu'avec les deux albums cartonnés précédents, prêtant au livre une vie propre et des sentiments.
Il faut toujours l'aide de la petite souris pour lui faire sortir les vers du nez et savoir ce qui préoccupe notre petit livre en émois.
Pas de changement de couleurs avec l'expression des sentiments comme avec la colère toute rouge, mais un jeu de mots qui enrichira le vocabulaire des petits, morose, terme d'un sens si gris mais si doux à dire pourtant.
Bourgeau rajoute de la douceur avec une impression de fond en laine très agréable. Un livre bonnet, un livre pull, un livre moufle qui tient chaud?
Et l'aveu se termine en plus par un bisou, alors que demander de plus?
Les joues du livre amoureux se teinte de rouge tout de même, on le serrerai presque dans ses bras avant de le déposer dans son rangement.
Mais n'est-ce pas ce que nous faisons déja, lorsque nous sommes ravis de l'avoir trouvé ce livre cherché, que nous ne voulons le partager?
Ah l'amour...
Le processus n'est pas nouveau certe mais peu importe.
Lorsque l'on tombe en amour avec les deux premiers de Ramadier, il y a inévitablement une veine creusée et de la place accordée à ceux qui viendront, d'autres livres qui ont envie de nous confier des choses avec tendresse et couleurs, que nous avons envie d'animer, nous grands lecteurs pour les petits.
Moins surprenant que les autres mais toujours un vrai plaisir à lire.
