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Critique de Guillangers
Virgile et Judith sont mari et femme. Vieillissant, malade Virgile tente tant bien que mal de s'occuper de Judith dans une ferme que l'on imagine autrefois prospère. Karl, le voisin qui est arrivé de la ville, sympathise avec Virgile sous l'oeil méfiant de Judith.
Georges, orphelin, a été élevé par son oncle et sa tante qui n'avaient qu'un seul but lui transmettre le métier de paysan. Il vit dans une caravane en face de la maison de ses parents.
Et puis Cory arrive, avec son histoire par très joyeuse non plus.
Elle va déstabiliser la vie routinière de Georges et mettre à mal Karl.
Un chasseur cagoulé, aux pratiques macabres, veille, observe les habitations, les gens. Mais que fait-il ? Que veut-il ?
Dans ce roman noir, on tourne les pages au rythme de la lenteur de leur vie. Les descriptions des paysages, des personnages sont presque millimétriques. On a l'impression que chacun d'entre eux à un secret bien gardé même enfoui au plus profond de leurres âmes pour certain.
On découvre finalement la dure réalité de la vie sur le plateau. On s'attache à Virgile qui semble être plein d'émotion refoulée. Et ce personnage de Judith, pour lequel on a pitié est-elle finalement si attachante qu'on voudrait nous le faire croire ?
Au fond, je pense que George est une victime de cette vie orchestrée par son oncle et sa tante.
La fin du roman peut nous laisser imaginer beaucoup de chose sur leur avenir.
Lien : https://laboitedeguillaume.w..
Georges, orphelin, a été élevé par son oncle et sa tante qui n'avaient qu'un seul but lui transmettre le métier de paysan. Il vit dans une caravane en face de la maison de ses parents.
Et puis Cory arrive, avec son histoire par très joyeuse non plus.
Elle va déstabiliser la vie routinière de Georges et mettre à mal Karl.
Un chasseur cagoulé, aux pratiques macabres, veille, observe les habitations, les gens. Mais que fait-il ? Que veut-il ?
Dans ce roman noir, on tourne les pages au rythme de la lenteur de leur vie. Les descriptions des paysages, des personnages sont presque millimétriques. On a l'impression que chacun d'entre eux à un secret bien gardé même enfoui au plus profond de leurres âmes pour certain.
On découvre finalement la dure réalité de la vie sur le plateau. On s'attache à Virgile qui semble être plein d'émotion refoulée. Et ce personnage de Judith, pour lequel on a pitié est-elle finalement si attachante qu'on voudrait nous le faire croire ?
Au fond, je pense que George est une victime de cette vie orchestrée par son oncle et sa tante.
La fin du roman peut nous laisser imaginer beaucoup de chose sur leur avenir.
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