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Critique de Altervorace
Tu le sais peut-être mais j'ai commencé à chroniquer la saga Alpha & Omega qui se déroule dans le même monde que celle de Mercy Thompson. Et comme je suis une plieuse de culotte – seulement métaphoriquement comme le prouverait mon tiroir à sous-vêtements… -, j'ai décidé de les (re)lire en suivant non pas l'ordre de parution mais l'ordre chronologique du point de vu narratif.
Après avoir posté une critique du deuxième opus d'Alpha & Omega il me fallait donc me replonger dans Mercy Thomson et donc enfin chroniquer le sixième opus, celui qui nous intéresse aujourd'hui…
Bien entendu, il m'a fallu, avant toute chose, relire les cinq premiers tomes de Mercy Thompson car si je me souvenais de beaucoup de choses certains détails auraient pu m'échapper.
Je craignais que la qualité des aventures de Mercy baisse au fil des opus et, sincèrement, au début de ma lecture de la Marque du Fleuve, j'ai bien pensé que c'était le cas. En effet, le volume commence par un mariage très attendu, celui d'Adam et de Mercy. Heureusement, on retrouve très vite les éléments habituels à cette saga : un gros vilain monstre qui, contre toute attente, ne laissera pas d'autres choix à Mercy que de l'affronter. de l'attendu donc. Sympa mais sans plus… Sauf que ce sixième tome nous offre enfin du neuf avec plein de révélations sur la nature même de notre héroïne. Et parce que je suis sympa – et que je déteste spoiler – je m'abstiendrai de t'en dire beaucoup plus sauf que cette aspect reste ce que j'ai préféré dans ce roman.
Rythmé et distrayant, La Marque du Fleuve ne révolutionnera sans doute pas la saga de madame Briggs. Toutefois j'ai apprécié en savoir plus sur le passé de Mercy. Et bien que je ne sois pas en mesure de l'affirmer encore – n'ayant pas lu la suite – il me semble que ce sixième opus pourrait faire figure de récit de transition.
Lien : http://altervorace.canalblog..
Après avoir posté une critique du deuxième opus d'Alpha & Omega il me fallait donc me replonger dans Mercy Thomson et donc enfin chroniquer le sixième opus, celui qui nous intéresse aujourd'hui…
Bien entendu, il m'a fallu, avant toute chose, relire les cinq premiers tomes de Mercy Thompson car si je me souvenais de beaucoup de choses certains détails auraient pu m'échapper.
Je craignais que la qualité des aventures de Mercy baisse au fil des opus et, sincèrement, au début de ma lecture de la Marque du Fleuve, j'ai bien pensé que c'était le cas. En effet, le volume commence par un mariage très attendu, celui d'Adam et de Mercy. Heureusement, on retrouve très vite les éléments habituels à cette saga : un gros vilain monstre qui, contre toute attente, ne laissera pas d'autres choix à Mercy que de l'affronter. de l'attendu donc. Sympa mais sans plus… Sauf que ce sixième tome nous offre enfin du neuf avec plein de révélations sur la nature même de notre héroïne. Et parce que je suis sympa – et que je déteste spoiler – je m'abstiendrai de t'en dire beaucoup plus sauf que cette aspect reste ce que j'ai préféré dans ce roman.
Rythmé et distrayant, La Marque du Fleuve ne révolutionnera sans doute pas la saga de madame Briggs. Toutefois j'ai apprécié en savoir plus sur le passé de Mercy. Et bien que je ne sois pas en mesure de l'affirmer encore – n'ayant pas lu la suite – il me semble que ce sixième opus pourrait faire figure de récit de transition.
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