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Critique de LoupAlunettes
Pascal Bissy, auteur des premières Lectures "Hercule Carotte", sur le lectorat pré-ado. Une première, pour ma part.
La couverture est très attrayante.
De l'héroic-Fantasy avec des animaux, comme avec Rouge Muraille de Brian Jacques.
Les jeunes lecteurs apprécient d'ailleurs en général les jeunes personnages à queue d'animaux.
Rappelez-vous ce personnage japonais à queue de ouistiti s'inspirant de la légende du Roi Singe, Sangoku le très chéri héros du Manga "DragonBall".
Cela donne envie d'ouvrir le livre, non?
En commençant l'aventure, je juge favorablement que l'affaire fonctionnerait parfaitement bien et d'emblée juste sur sa valeur narrative.
Rassurant et encourageant. Nous avons misé sur le bon cheval, il n' y a plus qu'à cravacher.
Si une queue d'animal a rendu Sangoku populaire, il est à espérer le même destin pour Balthazar qui hélas ne peut se faire d'amitiés stables du fait de ses déménagements réguliers et de la préservation impérative de son "secret".
Son père sénateur a d'ailleurs pris ses distances et choisi ses priorités pour ne pas avoir à gérer cela en plus. Pas de chance.
Balthazar est vif, intelligent, aucunement une petite âme introvertie, il développe une grande capacité d'adaptation et la suite donnera raison.
Dans des circonstances à découvrir des jeunes lecteurs, Balthazar franchit un autre monde, beaucoup plus médiéval et l'origine de cette queue de renard vient à s'éclaircir.
Les corps jonchent facilement les fourrés et les clairières sur son passage, cela croise le fer sévère par ici.
La mission du groupe qui le prend rapidement en charge est vite tracée, retrouver l'"entredeux mondes" retenu captif.
De lui et de ses voyages, dépendent l'équilibre du monde de Balthazar et celui de Andoria la renarde( très aigrie, selon Balthazar), Ernst l'ours ( très fêlé, selon Balthazar) et Vlad le chacal( très psychopathe. Nous tairons l'identité de celui qui l'a jugé pour sa propre sécurité).
Nous comprenons alors qu'il n'est pas anodin que la pluie ne cesse de tomber d'un côté tandis que le soleil écrasant chauffe à plein tube de l'autre.
Les circulations de l'entredeux favorise une croissance des forêts et la sécheresse s'étend dangereusement.
Il y a évidement un grand méchant(loup) derrière tout cela.
Oubliez le mal noir comme la nuit, nous nous opposons à un renard blanc.
Le titre dévoile une partie de la providence.
Mais qui est l'Entredeux monde?
A t-il lui aussi une queue de renard?
Les personnages aux caractères divers sont plutôt bien campés par ces animaux qui marchent debout, on ne tombe pas dans le cliché d'une personnalité propre à une nature animale.
Ces caractères sont à découvrir et ils deviennent à la longue attachants.
Pascal Brissy prend son temps avec son jeune héros et on apprécie que Balthazar ne se lève pas d'un bond sur une pierre haute en proclamant" je suis l'élu!".
Ce n'est qu'un gamin et avec patience, sagesse, il suit, pour sauver sa couenne de petit d'homme et trouver le moyen d'inverser le ticket du voyage.
On s'y plait dans cet univers et je me prend à regarder 3 et 4 fois cette 1ère de couverture de Jeremy Fleury qui est superbe.
Les moments de découverte de ce nouveau monde et les temps d'action sont équilibrés. Les nouvelles origines de Balthazar Fox sont un des intérêts proposés pour nous attendrir tandis que les intrigues vont se multiplier.
Une ligne directrice simple mais efficace.
On se prend de plaisir pour cette histoire où les flèches vont voler et qu'on ne lâche pas ( sauf pour déjeuner et d'autres commodités que je tairai).
Une bonne surprise. Vraiment.
La couverture est très attrayante.
De l'héroic-Fantasy avec des animaux, comme avec Rouge Muraille de Brian Jacques.
Les jeunes lecteurs apprécient d'ailleurs en général les jeunes personnages à queue d'animaux.
Rappelez-vous ce personnage japonais à queue de ouistiti s'inspirant de la légende du Roi Singe, Sangoku le très chéri héros du Manga "DragonBall".
Cela donne envie d'ouvrir le livre, non?
En commençant l'aventure, je juge favorablement que l'affaire fonctionnerait parfaitement bien et d'emblée juste sur sa valeur narrative.
Rassurant et encourageant. Nous avons misé sur le bon cheval, il n' y a plus qu'à cravacher.
Si une queue d'animal a rendu Sangoku populaire, il est à espérer le même destin pour Balthazar qui hélas ne peut se faire d'amitiés stables du fait de ses déménagements réguliers et de la préservation impérative de son "secret".
Son père sénateur a d'ailleurs pris ses distances et choisi ses priorités pour ne pas avoir à gérer cela en plus. Pas de chance.
Balthazar est vif, intelligent, aucunement une petite âme introvertie, il développe une grande capacité d'adaptation et la suite donnera raison.
Dans des circonstances à découvrir des jeunes lecteurs, Balthazar franchit un autre monde, beaucoup plus médiéval et l'origine de cette queue de renard vient à s'éclaircir.
Les corps jonchent facilement les fourrés et les clairières sur son passage, cela croise le fer sévère par ici.
La mission du groupe qui le prend rapidement en charge est vite tracée, retrouver l'"entredeux mondes" retenu captif.
De lui et de ses voyages, dépendent l'équilibre du monde de Balthazar et celui de Andoria la renarde( très aigrie, selon Balthazar), Ernst l'ours ( très fêlé, selon Balthazar) et Vlad le chacal( très psychopathe. Nous tairons l'identité de celui qui l'a jugé pour sa propre sécurité).
Nous comprenons alors qu'il n'est pas anodin que la pluie ne cesse de tomber d'un côté tandis que le soleil écrasant chauffe à plein tube de l'autre.
Les circulations de l'entredeux favorise une croissance des forêts et la sécheresse s'étend dangereusement.
Il y a évidement un grand méchant(loup) derrière tout cela.
Oubliez le mal noir comme la nuit, nous nous opposons à un renard blanc.
Le titre dévoile une partie de la providence.
Mais qui est l'Entredeux monde?
A t-il lui aussi une queue de renard?
Les personnages aux caractères divers sont plutôt bien campés par ces animaux qui marchent debout, on ne tombe pas dans le cliché d'une personnalité propre à une nature animale.
Ces caractères sont à découvrir et ils deviennent à la longue attachants.
Pascal Brissy prend son temps avec son jeune héros et on apprécie que Balthazar ne se lève pas d'un bond sur une pierre haute en proclamant" je suis l'élu!".
Ce n'est qu'un gamin et avec patience, sagesse, il suit, pour sauver sa couenne de petit d'homme et trouver le moyen d'inverser le ticket du voyage.
On s'y plait dans cet univers et je me prend à regarder 3 et 4 fois cette 1ère de couverture de Jeremy Fleury qui est superbe.
Les moments de découverte de ce nouveau monde et les temps d'action sont équilibrés. Les nouvelles origines de Balthazar Fox sont un des intérêts proposés pour nous attendrir tandis que les intrigues vont se multiplier.
Une ligne directrice simple mais efficace.
On se prend de plaisir pour cette histoire où les flèches vont voler et qu'on ne lâche pas ( sauf pour déjeuner et d'autres commodités que je tairai).
Une bonne surprise. Vraiment.
