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Critique de Plumipille
Je remercie Babelio et les éditions in octavo pour l'envoi de ce livre lors d'une récente Masse Critique.
Faim de parcours c'est l'histoire d'un nonagénaire, Pierre, qui réside dans un EHPAD, et qui vit pour venger la mort de sa mère pendant l'occupation allemande.
En parallèle on découvre une équipe de flics du 36 Quai des Orfèvres, sous la direction du commissaire Berthier, qui enquête sur une série de meurtres.
Forcément, les deux histoires se croisent, et l'on suit une enquête minutieuse, et un mode opératoire incroyable sur tant d'années.
Le style est beau, l'écriture est agréable, et le sujet est percutant. Ce qui donne l'envie de prolonger le moment de lecture avec intérêt. Pourtant, à quelques reprises, j'ai ressenti en tant que lectrice que l'auteur me tenait par la main pour m'accompagner (un peu trop) dans la narration. Sans me laisser le loisir d'imaginer le dénouement. Cela ne pas empêcher d'aller jusqu'au bout du roman avec intérêt.
Faim de parcours c'est l'histoire d'un nonagénaire, Pierre, qui réside dans un EHPAD, et qui vit pour venger la mort de sa mère pendant l'occupation allemande.
En parallèle on découvre une équipe de flics du 36 Quai des Orfèvres, sous la direction du commissaire Berthier, qui enquête sur une série de meurtres.
Forcément, les deux histoires se croisent, et l'on suit une enquête minutieuse, et un mode opératoire incroyable sur tant d'années.
Le style est beau, l'écriture est agréable, et le sujet est percutant. Ce qui donne l'envie de prolonger le moment de lecture avec intérêt. Pourtant, à quelques reprises, j'ai ressenti en tant que lectrice que l'auteur me tenait par la main pour m'accompagner (un peu trop) dans la narration. Sans me laisser le loisir d'imaginer le dénouement. Cela ne pas empêcher d'aller jusqu'au bout du roman avec intérêt.
