Un polar social, qui met en évidence les travers de la société québécoise post-pandémique.
On aura la crise des opioïdes avec un cadavre découvert dans la rue, un fraudeur des réseaux sociaux qui profite de la solitude des femmes pour les détrousser de leur argent, la crise du logement, des problèmes familiaux et un père qui n'accepte pas l'homosexualité de son fils et même un corps décapité trouvé à Montréal.
Un polar qui ne mise pas sur un dénouement final spectaculaire, car on connait le meurtrier puisqu'on a en parallèle ses agissements et ceux des enquêteurs.
Un polar bien ancré dans la société, mais où la vie personnelle et les choix gastronomiques prennent presque autant d'importance que le processus d'enquête et la résolution des crimes.
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