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Critique de TheWind
Pantalon de toile clair, haut marin aux rayures blanches et bleues, foulard bien arrimé sur notre tête, bande de tissu en guise de ceinture, nous étions prêtes ! Parées pour de nouvelles aventures !
Le bateau sur lequel nous embarquions promettait de belles découvertes...
Le capitaine Browne, une nouvelle fois, nous avait tentées et nous étions prêtes à le suivre jusqu'au bout du monde...enfin plutôt jusqu'au bout de son univers truffé de trésors littéraires.
Capitaine Browne, emparez-vous de votre crayon mine bien affûté, nous vous suivons !
A bord de ce vaisseau magique, nous avons d'abord retrouvé Marcel. Ce petit singe timide vêtu d'un débardeur bien coloré nous est bien familier et nous avons plaisir à le retrouver à bord du bateau. C'est lui qui nous accompagnera dans nos aventures.
Nous accostons sur une île déserte. Il n'y avait personne. Et pourtant, au beau milieu d'une plage de sable fin, une énorme trace de pas nous étonna. Mais à qui donc appartenait cette empreinte ? À un vilain monstre ? À King Kong ? Ou tout simplement à un naufragé ? Pour le savoir, il nous fallait suivre les traces de pas...
...qui nous amenèrent au bord d'une rivière. Il fallait traverser. Mais comment faire quand on ne sait pas bien nager et quand on ne veut pas mouiller ses habits ? Heureusement, un moine au grand coeur appelé Grand Tuck nous prêta main-forte. Il nous a fait peur quand il a traité Marcel de misérable petite mauviette, mais en réalité il n'était pas bien méchant...
Après une petite virée dans une forêt étrange et un peu effrayante, nous voilà à nouveau sur le bateau !
Et là, une mauvaise surprise nous attendait. Un terrible pirate avec un crochet à la place de la main nous menaça de son épée. Marcel se battit contre lui comme un brave et esquiva tous les coups portés. Quel magicien, ce Marcel !
Après cette mésaventure, nous avions bien besoin de nous reposer. Ouvrant une trappe conduisant à nos chambres, nous sommes tombés dans un trou sombre et profond. Mais quel bonheur de découvrir que les murs étaient recouverts d'étagères de livres ! Une véritable caverne d'Ali Bababelio pour nous qui adorons les livres ! Nous avons bien essayé d'en prendre au passage...
Mais par un enchantement incompréhensible, nous fûmes emportés dans un terrible tourbillon qui nous souleva de terre et nous emporta loin, loin, loin...et nous finîmes par atterrir au pied d'une gigantesque tour de livres aux tranches scintillantes de laquelle pendait une corde tressée de cheveux d'or.
Un chant merveilleux nous parvenait du sommet de la tour. Marcel se hissa alors sur la corde et se mit à grimper. Qu'allait-il trouver tout là-haut ? Sans doute la bonne réponse à cette question !
Quelques heures plus tard, nous continuâmes notre chemin. Il fallait retrouver le bateau ! Nous traversâmes la Forêt sauvage. Il faisait déjà nuit et nous tremblions de peur. Nous nous sommes mis à courir.
Par chance, nous retrouvâmes le rivage. Mais où était le bateau ? Un peu fous mais téméraires, nous nous mîmes à l'eau, pour tenter de le retrouver à la nage. Mauvaise idée ! Une baleine affamée se jeta sur nous et nous avala tout crus. L'intérieur de la baleine était gigantesque et nous eûmes l' agréable surprise de retrouver notre bateau.
Il était temps de … refermer le livre.
Chronique à quatre voix. Par TheWind et sa petite famille...
Un grand merci à Babelio et aux éditions Kaleidoscope pour cet envoi généreux et fabuleux !
Le bateau sur lequel nous embarquions promettait de belles découvertes...
Le capitaine Browne, une nouvelle fois, nous avait tentées et nous étions prêtes à le suivre jusqu'au bout du monde...enfin plutôt jusqu'au bout de son univers truffé de trésors littéraires.
Capitaine Browne, emparez-vous de votre crayon mine bien affûté, nous vous suivons !
A bord de ce vaisseau magique, nous avons d'abord retrouvé Marcel. Ce petit singe timide vêtu d'un débardeur bien coloré nous est bien familier et nous avons plaisir à le retrouver à bord du bateau. C'est lui qui nous accompagnera dans nos aventures.
Nous accostons sur une île déserte. Il n'y avait personne. Et pourtant, au beau milieu d'une plage de sable fin, une énorme trace de pas nous étonna. Mais à qui donc appartenait cette empreinte ? À un vilain monstre ? À King Kong ? Ou tout simplement à un naufragé ? Pour le savoir, il nous fallait suivre les traces de pas...
...qui nous amenèrent au bord d'une rivière. Il fallait traverser. Mais comment faire quand on ne sait pas bien nager et quand on ne veut pas mouiller ses habits ? Heureusement, un moine au grand coeur appelé Grand Tuck nous prêta main-forte. Il nous a fait peur quand il a traité Marcel de misérable petite mauviette, mais en réalité il n'était pas bien méchant...
Après une petite virée dans une forêt étrange et un peu effrayante, nous voilà à nouveau sur le bateau !
Et là, une mauvaise surprise nous attendait. Un terrible pirate avec un crochet à la place de la main nous menaça de son épée. Marcel se battit contre lui comme un brave et esquiva tous les coups portés. Quel magicien, ce Marcel !
Après cette mésaventure, nous avions bien besoin de nous reposer. Ouvrant une trappe conduisant à nos chambres, nous sommes tombés dans un trou sombre et profond. Mais quel bonheur de découvrir que les murs étaient recouverts d'étagères de livres ! Une véritable caverne d'Ali Bababelio pour nous qui adorons les livres ! Nous avons bien essayé d'en prendre au passage...
Mais par un enchantement incompréhensible, nous fûmes emportés dans un terrible tourbillon qui nous souleva de terre et nous emporta loin, loin, loin...et nous finîmes par atterrir au pied d'une gigantesque tour de livres aux tranches scintillantes de laquelle pendait une corde tressée de cheveux d'or.
Un chant merveilleux nous parvenait du sommet de la tour. Marcel se hissa alors sur la corde et se mit à grimper. Qu'allait-il trouver tout là-haut ? Sans doute la bonne réponse à cette question !
Quelques heures plus tard, nous continuâmes notre chemin. Il fallait retrouver le bateau ! Nous traversâmes la Forêt sauvage. Il faisait déjà nuit et nous tremblions de peur. Nous nous sommes mis à courir.
Par chance, nous retrouvâmes le rivage. Mais où était le bateau ? Un peu fous mais téméraires, nous nous mîmes à l'eau, pour tenter de le retrouver à la nage. Mauvaise idée ! Une baleine affamée se jeta sur nous et nous avala tout crus. L'intérieur de la baleine était gigantesque et nous eûmes l' agréable surprise de retrouver notre bateau.
Il était temps de … refermer le livre.
Chronique à quatre voix. Par TheWind et sa petite famille...
Un grand merci à Babelio et aux éditions Kaleidoscope pour cet envoi généreux et fabuleux !
