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Critique de JACS
Ce livre très bien écrit date de 2012 et relate en gros l'arrivée au pouvoir de FH ou plus précisément du PS, tout ce que ce nouveau régime induit est encore visible aujourd'hui :
malaise des professions opposition des libéraux et des privés, la gouvernance d'un parti plutôt qu celle d'un président rassembleur,
des mesures fiscales arbitraires, une recrudescence du chaumage
des décisions économique maladroites, surement une "boite a outil" mal affutée.
les conséquences directes de tout ce malaise, sont la recherche "d'un ailleurs"
plus aucune fierté de l'appartenance d'un pays, de la patrie, pire un désamour flagrant.
beaucoup de jeunes et de moins jeunes entrepreneurs décident de tenter leur chance ailleurs, vers les USA, la Belgique, les pays bas, ou les conditions offertes sont plus souriantes, ou ceux qui travaillent sont gratifiés et non sanctionné, ou il n'est pas malsain de gagner de l'argent .
le constat est sévère mais réaliste, pas un domaine n'est épargné, l'éducation, la santé, la justice et la police, le commerce, toute ces institutions qui faisaient la fierté d'un pays la France, sont aujourd'hui bafouées et discrédités!
est ce que ça va s'améliorer? c'est la question que pose Brunet, il répond que d'ici 10, 15 ans probablement les expatriés pourraient revenir et mettre en place les réformes que personnes n'a le courage d'entreprendre.
" La France préfère ses footballeurs a ses travailleurs "
malaise des professions opposition des libéraux et des privés, la gouvernance d'un parti plutôt qu celle d'un président rassembleur,
des mesures fiscales arbitraires, une recrudescence du chaumage
des décisions économique maladroites, surement une "boite a outil" mal affutée.
les conséquences directes de tout ce malaise, sont la recherche "d'un ailleurs"
plus aucune fierté de l'appartenance d'un pays, de la patrie, pire un désamour flagrant.
beaucoup de jeunes et de moins jeunes entrepreneurs décident de tenter leur chance ailleurs, vers les USA, la Belgique, les pays bas, ou les conditions offertes sont plus souriantes, ou ceux qui travaillent sont gratifiés et non sanctionné, ou il n'est pas malsain de gagner de l'argent .
le constat est sévère mais réaliste, pas un domaine n'est épargné, l'éducation, la santé, la justice et la police, le commerce, toute ces institutions qui faisaient la fierté d'un pays la France, sont aujourd'hui bafouées et discrédités!
est ce que ça va s'améliorer? c'est la question que pose Brunet, il répond que d'ici 10, 15 ans probablement les expatriés pourraient revenir et mettre en place les réformes que personnes n'a le courage d'entreprendre.
" La France préfère ses footballeurs a ses travailleurs "
