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Critique de compulsif
Grande consommatrice de SF, Fantaisy...(quelque soit le nom ou les classification du genre), j'aime ce monde sans limite d'imagination, de création, d'ouverture.....
Les romans de cette vaste catégorie possèdent souvent plusieurs niveaux de lecture, du simple conte (sorti droit de l'imaginaire de l'auteur ou utilisation de l'imaginaire ancestral ou collectif) à la critique à peine voilée d'un monde hyper-materialiste, hyper technologique...Tout le monde peut y trouver son bonheur pour peu qu'il ose passer outre ses a-prioris et ses idées préconçues sur le genre (Un peu comme on oublie un peu vite que les groupes de Hard-rock peuvent avoir des slows assez fantastiques).
Je suis généralement bon public mais là.....Que les deux premiers tomes soient lents, nous installent dans le monde du farlander, OK ; que l'auteur utilise, déforme, torture des standards (modèles géo-politiques, religions, philosophies..), OK mais :
L'utilisation un peu trop fréquente du deus ex machina et surtout celui de ce tome est au delà de ma capacité de tolérance. On ne change pas la règle du jeu en cours de route de manière aussi grossière, comme une solution de facilité qui laisse le lecteur pantois,sidéré, déçu et frustré (Quoi ! Tout ça pour ça!!!)
Monsieur Buchanan a remporté le David Gemmell Legend Award for Fantasy en 2010, hélas pour moi sa prose me ramène au seul Gemmell que je n'ai pas apprécié, le Lion de Macédoine, et ce pour les mêmes raisons.
Le coté positif de cette grande déception : replongeant dans ma PAL de "petits" éditeurs à tendances frenchies j'ai découvert madame Krust, messieurs Debien, Beorn....Tout le bonheur d'entendre le doux bruissement d'un ruisselet au milieu d'un raout surfait où l'on s'ennuie fort.
Les romans de cette vaste catégorie possèdent souvent plusieurs niveaux de lecture, du simple conte (sorti droit de l'imaginaire de l'auteur ou utilisation de l'imaginaire ancestral ou collectif) à la critique à peine voilée d'un monde hyper-materialiste, hyper technologique...Tout le monde peut y trouver son bonheur pour peu qu'il ose passer outre ses a-prioris et ses idées préconçues sur le genre (Un peu comme on oublie un peu vite que les groupes de Hard-rock peuvent avoir des slows assez fantastiques).
Je suis généralement bon public mais là.....Que les deux premiers tomes soient lents, nous installent dans le monde du farlander, OK ; que l'auteur utilise, déforme, torture des standards (modèles géo-politiques, religions, philosophies..), OK mais :
L'utilisation un peu trop fréquente du deus ex machina et surtout celui de ce tome est au delà de ma capacité de tolérance. On ne change pas la règle du jeu en cours de route de manière aussi grossière, comme une solution de facilité qui laisse le lecteur pantois,sidéré, déçu et frustré (Quoi ! Tout ça pour ça!!!)
Monsieur Buchanan a remporté le David Gemmell Legend Award for Fantasy en 2010, hélas pour moi sa prose me ramène au seul Gemmell que je n'ai pas apprécié, le Lion de Macédoine, et ce pour les mêmes raisons.
Le coté positif de cette grande déception : replongeant dans ma PAL de "petits" éditeurs à tendances frenchies j'ai découvert madame Krust, messieurs Debien, Beorn....Tout le bonheur d'entendre le doux bruissement d'un ruisselet au milieu d'un raout surfait où l'on s'ennuie fort.
