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Critique de AstoriaAddams
Olive est une jeune femme tiraillée par un passée compliqué. Un drame survenu dans son adolescence à littéralement gâché sa vie. Ça aurait pu en rester là, mais c'était sans compter sur l'article qu'on journaliste à écrit sur son histoire. Article qui va la mettre, bien malgré elle, sur le devant de la scène, et qui achèvera de la détruire. Huit ans plus tard, elle cherche la vérité. Qui a écrit cet article et gâché sa vie ? Qui que ça puisse être, il doit payé pour ça. Quand elle recontre Alex dans un club, c'est le coup de coeur, et quand elle apprends que c'est lui qui a gâché sa vie des années auparavant, elle n'a qu'une idée en tête, se venger. Mais quand l'amour s'en mêle, tout devient compliqué.
C'est assez rare que je dise cela, mais j'avoue ne pas avoir apprécié "The fake truth", l'histoire est pourtant très bien pensée et à tout pour plaire. Une reconstruction de soi, la vengeance, le pardon. Voir aborder les sujets du journalisme et de la justice restaurative. Tout cela est très intéressant.
Preuve en est de toutes les personnes ayant adoré l'oeuvre. Pour par part, je l'ai trouvé très (trop) fast burn. Je ne suis pas spécialement réfractaire aux relation qui vont vite, même si j'avoue avoir un penchant pour le slow burn. Mais les circonstances du romans font que je ne comprends pas que cette relation ait pu évolué aussi rapidement.
De même que j'ai beaucoup de mal à saisir la psychologie d'Olive qui semble presque "oublier" tout ses traumatismes pour un garçon. Je n'ai pas pu m'empêcher de me mettre à sa place et je n'aurait pas pu prendre les mêmes décisions qu'elle concernant Alec.
Et pour Alec, c'est un peu pareil, j'ai eu du mal à saisir sa personnalité. Par contre j'ai beaucoup aimé Émilia.
En tout cas, l'histoire a beaucoup de potentiel, vraiment. Et, même si généralement, je vous invite à prendre en compte mon avis, cette fois c'est tout l'inverse. Parce que je sais que, bien que je n'ai pas apprécié le roman de Marjorie Burbaud, c'est juste un avis personnel. Son roman est loin d'être mauvais, seulement, il n'est pas pour moi. Je vous invite donc à vous faire votre propre avis dessus, et à pourquoi pas aller voir les chroniques de mes "collègues" qui ont aimé "The fake truth".
C'est assez rare que je dise cela, mais j'avoue ne pas avoir apprécié "The fake truth", l'histoire est pourtant très bien pensée et à tout pour plaire. Une reconstruction de soi, la vengeance, le pardon. Voir aborder les sujets du journalisme et de la justice restaurative. Tout cela est très intéressant.
Preuve en est de toutes les personnes ayant adoré l'oeuvre. Pour par part, je l'ai trouvé très (trop) fast burn. Je ne suis pas spécialement réfractaire aux relation qui vont vite, même si j'avoue avoir un penchant pour le slow burn. Mais les circonstances du romans font que je ne comprends pas que cette relation ait pu évolué aussi rapidement.
De même que j'ai beaucoup de mal à saisir la psychologie d'Olive qui semble presque "oublier" tout ses traumatismes pour un garçon. Je n'ai pas pu m'empêcher de me mettre à sa place et je n'aurait pas pu prendre les mêmes décisions qu'elle concernant Alec.
Et pour Alec, c'est un peu pareil, j'ai eu du mal à saisir sa personnalité. Par contre j'ai beaucoup aimé Émilia.
En tout cas, l'histoire a beaucoup de potentiel, vraiment. Et, même si généralement, je vous invite à prendre en compte mon avis, cette fois c'est tout l'inverse. Parce que je sais que, bien que je n'ai pas apprécié le roman de Marjorie Burbaud, c'est juste un avis personnel. Son roman est loin d'être mauvais, seulement, il n'est pas pour moi. Je vous invite donc à vous faire votre propre avis dessus, et à pourquoi pas aller voir les chroniques de mes "collègues" qui ont aimé "The fake truth".
