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Critique de Pachy
Max Cabanes est avant tout un excellent dessinateur. Je ne sais pas trop bien comment, avec Sylvie Brasquet, s'est reparti le scénario.
Toutes les jeunes filles de cet album sont devenues des femmes, des épouses, des mères. Quelque part dans leurs souvenirs sont rangées leurs premiers émois d'adolescentes. Prêtes à la transgression pour se retrouver dans les bras d'un garçon, souvent un peu plus âgé ou même marié. La suite les faisait rêver, phantesmer. Elles vivaient l'instant, elles étaient amoureuses mais pouvaient vite changer de bras.
Mais elles devaient aussi se méfier de la suprématie masculine et éviter certains pièges comme celui de dire oui à un rabatteur et s'engluer dans une secte. A l'époque de cet album, c'était un sujet d'actualité très brûlant.
Ces petites historiettes dépeignent parfaitement cette époque pendant laquelle on aimerait rester une jeune à un pied dans le monde adulte.
Toutes les jeunes filles de cet album sont devenues des femmes, des épouses, des mères. Quelque part dans leurs souvenirs sont rangées leurs premiers émois d'adolescentes. Prêtes à la transgression pour se retrouver dans les bras d'un garçon, souvent un peu plus âgé ou même marié. La suite les faisait rêver, phantesmer. Elles vivaient l'instant, elles étaient amoureuses mais pouvaient vite changer de bras.
Mais elles devaient aussi se méfier de la suprématie masculine et éviter certains pièges comme celui de dire oui à un rabatteur et s'engluer dans une secte. A l'époque de cet album, c'était un sujet d'actualité très brûlant.
Ces petites historiettes dépeignent parfaitement cette époque pendant laquelle on aimerait rester une jeune à un pied dans le monde adulte.
