Pour avoir connu de près plusieurs livreurs à vélo, l'idée de départ du roman m'a tout de suite plu.
Finalement l'histoire va impliquer davantage de personnages que ces cyclistes professionnels et dévoiler les liens invisibles et impensables qui unissent malgré eux les habitants d'un grande ville telle que Paris.
La société de service est une nouvelle forme d'esclavage et le monde moderne oppressif au possible.
La précarité et l'insécurité ne sont plus des fléaux de la société mais simplement elles en sont devenues des composantes avec lesquelles il faut trouver sa place et son chemin.
Les personnages de ce livre cheminent effectivement, à vélo, en taxi, en RER, et ils finiront par se retrouver et même à s'unir malgré eux dans une terrible conclusion.
Lien :
http://christophegele.com/20.. Commenter  J’apprécie         30