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Critique de Amindara
Naturellement, après avoir terminé le premier tome, je me suis lancée dans la lecture du tome 2.
J'y ai retrouvé les personnages que j'avais appris à apprécier dans le premier tome (Loanna, Jaufré, Denys, mais pas Aliénor que je trouve trop superficielle, égocentrique). Mais j'y ai aussi retrouvé la profusion de personnages secondaires (voire même figurants) que je n'arrive jamais à retenir d'un chapitre à l'autre et que je confonds tout le temps. Trop de personnages font de simples apparitions et embrouillent davantage les choses (d'autant que parfois, j'ai un peu l'impression qu'ils ne servent à rien...)
Encore une fois, l'intrigue est plaisante. J'aime beaucoup les romans historiques, surtout quand l'auteur sait rester assez proche de la réalité historique, se contentant de romancer les partis les plus floues de la vraie Histoire. Mais, là encore, il y a tellement de choses dans cette histoire que j'ai eu cette même impression de trop : trop de choses, trop fouillis.
Et, là encore, j'ai eu du mal à retrouver le même enthousiasme que j'avais ressenti à ma première lecture il y a environ 15 ans. J'ai trouvé ça sympa mais sans plus.
J'y ai retrouvé les personnages que j'avais appris à apprécier dans le premier tome (Loanna, Jaufré, Denys, mais pas Aliénor que je trouve trop superficielle, égocentrique). Mais j'y ai aussi retrouvé la profusion de personnages secondaires (voire même figurants) que je n'arrive jamais à retenir d'un chapitre à l'autre et que je confonds tout le temps. Trop de personnages font de simples apparitions et embrouillent davantage les choses (d'autant que parfois, j'ai un peu l'impression qu'ils ne servent à rien...)
Encore une fois, l'intrigue est plaisante. J'aime beaucoup les romans historiques, surtout quand l'auteur sait rester assez proche de la réalité historique, se contentant de romancer les partis les plus floues de la vraie Histoire. Mais, là encore, il y a tellement de choses dans cette histoire que j'ai eu cette même impression de trop : trop de choses, trop fouillis.
Et, là encore, j'ai eu du mal à retrouver le même enthousiasme que j'avais ressenti à ma première lecture il y a environ 15 ans. J'ai trouvé ça sympa mais sans plus.
