Quelques jolies réflexions, quelques joyaux de langue, mais beaucoup de répétitions et de clichés éculés. Ce petit traité me laisse une impression en demi-teinte, peut-être tout simplement parce que le désir ne peut se résumer en une centaine de pages, peut-être parce que par définition il est infiniment personnel, subjectif, et que je ne partage pas nombre de points de vue de l'auteure...
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