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Critique de Big-Bad-Wolf
Après tant d'années à traîner dans ma PAL, je viens enfin de refermer le premier tome d'Imriel.
La première chose à dire à mon sens, est que ça a été une excellente lecture, ce qui ne me surprend guère. J'avais adoré Kushiel. J'ai donc retrouvé avec grand plaisir la plume de qualité de l'auteur, et ce monde alternatif pas si éloigné du nôtre. Mon plus grand bonheur a été de revoir Phèdre et Joscelin, duo qui a touché mon coeur dans la trilogie précédente.
Nous suivons ici les aventures d'Imriel, selon le point de vue interne de celui-ci. Si j'ai apprécié ma lecture, je mets tout de même un petit bémol. J'ai trouvé le personnage d'Imriel bien moins attachant que celui de Phèdre. Tourmenté, mélancolique, en proie à ses démons, Imriel passe une bonne partie de son temps à se lamenter sur son sort, sur son existence et sur sa raison d'être. Ce qui, dans un pavé de 950 pages doit représenter environ 650 à 700 pages de ce genre d'état d'esprit. J'avoue que cela a fini par m'irriter.
Certains se plaignent de la lenteur de démarrage de l'intrigue, que j'ai bel et bien constatée mais qui ne m'a aucunement gênée. L'auteur sait nous emporter et nous faire éprouver de l'intérêt même pour les choses les plus banales.
C'est au final une lecture que je ne peux que recommander, mais en précisant qu'il faut s'accrocher aux premières centaines de pages avant d'être pleinement dans l'histoire. Je suis à présent curieuse de savoir ce qu'Imriel aura retiré de ses déboires à Tibérium, et ce qui en découlera dans les tomes suivants !
La première chose à dire à mon sens, est que ça a été une excellente lecture, ce qui ne me surprend guère. J'avais adoré Kushiel. J'ai donc retrouvé avec grand plaisir la plume de qualité de l'auteur, et ce monde alternatif pas si éloigné du nôtre. Mon plus grand bonheur a été de revoir Phèdre et Joscelin, duo qui a touché mon coeur dans la trilogie précédente.
Nous suivons ici les aventures d'Imriel, selon le point de vue interne de celui-ci. Si j'ai apprécié ma lecture, je mets tout de même un petit bémol. J'ai trouvé le personnage d'Imriel bien moins attachant que celui de Phèdre. Tourmenté, mélancolique, en proie à ses démons, Imriel passe une bonne partie de son temps à se lamenter sur son sort, sur son existence et sur sa raison d'être. Ce qui, dans un pavé de 950 pages doit représenter environ 650 à 700 pages de ce genre d'état d'esprit. J'avoue que cela a fini par m'irriter.
Certains se plaignent de la lenteur de démarrage de l'intrigue, que j'ai bel et bien constatée mais qui ne m'a aucunement gênée. L'auteur sait nous emporter et nous faire éprouver de l'intérêt même pour les choses les plus banales.
C'est au final une lecture que je ne peux que recommander, mais en précisant qu'il faut s'accrocher aux premières centaines de pages avant d'être pleinement dans l'histoire. Je suis à présent curieuse de savoir ce qu'Imriel aura retiré de ses déboires à Tibérium, et ce qui en découlera dans les tomes suivants !
