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Critique de La-page-qui-marque
John Carlin est journaliste. Il est présent en Afrique du Sud lors des semaines cruciales où Mandela a convaincu le général Viljoen de stopper les exactions de ses hommes.Ce dernier était à la tête des milices d'extrême droite dans un pays était au bord de la guerre civile. Avec diplomatie et charisme, Mandela évite ce qui semblait inéluctable et réussit à accéder au pouvoir malgré les divisions.
C'est cela que le journaliste raconte sous les traits de crayons de Oriol Marlet. C'est un moment de l'histoire du pays décisif et assez incroyable où deux hommes que tout oppose arrivent à se parler. Il faut l'intelligence de Mandela pour réussir un tel exploit. J'ai été ravie de découvrir cette histoire qui redonne foi en l'humanité et prouve que parfois l'impossible peut se produire.
C'est un BD journalistique donc le style est un peu lourd, beaucoup de choses sont dites en trop peu de pages. Je n'ai pas particulièrement été touchée par les illustrations mais ça reste un bande dessinée que j'ai pris grand plaisir à découvrir.
Un livre qui nous rappelle que Mandela est une source d'inspiration intarissable.
C'est cela que le journaliste raconte sous les traits de crayons de Oriol Marlet. C'est un moment de l'histoire du pays décisif et assez incroyable où deux hommes que tout oppose arrivent à se parler. Il faut l'intelligence de Mandela pour réussir un tel exploit. J'ai été ravie de découvrir cette histoire qui redonne foi en l'humanité et prouve que parfois l'impossible peut se produire.
C'est un BD journalistique donc le style est un peu lourd, beaucoup de choses sont dites en trop peu de pages. Je n'ai pas particulièrement été touchée par les illustrations mais ça reste un bande dessinée que j'ai pris grand plaisir à découvrir.
Un livre qui nous rappelle que Mandela est une source d'inspiration intarissable.
