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Critique de tibwalovesstory
Après une journée de travail intense, ce mercredi 10 novembre 2021, je me suis dit que me plonger dans la lecture du second tome de la saga Libertà, de @eloisecasbert, serait une bonne idée, le tome 3 sortant ce vendredi 12 novembre. J'ai eu raison.
Dans ce tome 2 intitulé « le réseau Drake », l'autrice nous plonge avec talent dans l'horreur de la seconde guerre mondiale. Si nous retrouvons les personnages du tome 1 vingt ans après, cette intrigue nous offre une nouvelle héroïne, Eugénie, encore plus flamboyante que ne l'était Lisandra. Une héroïne qui, au même âge que sa tante, gagnera Toulon pour vivre sa vie comme elle l'entend, en devenant apprentie dans un atelier de fabrication d'instruments de musique. Une passion qui amènera Eugénie à rencontrer Julien, mais qui lui ouvrira surtout les portes de sa destinée : devenir une résistante bravant tous les dangers au nom de la liberté…
Le sens du détail d'Eloïse Casbert trouve toute sa raison d'être dans ce très beau second tome dont l'histoire est magnifiée et gagne en densité grâce à son contexte historique. Cependant, la mécanique reste identique : Lisandra et Eugénie sont des esprits libres qui quittent la Corse à 19 ans, et sortent de leur zone de confort en gagnant le continent pour vivre de leur passion pour la musique. Une passion qui leur permettra de rencontrer l'amour et d'embrasser leur destin.
Dans ce tome 2, les petits défauts du tome 1 sont gommés, et le couple Eugénie/Julien devient aussi emblématique que celui formé par Lisandra et Uguet, voire plus fascinant encore, du fait de leur rôle de résistants. Comme le dit elle-même Eugénie dans le roman : « … une Leccia ne craque pas. » Les rebondissements s'enchaînent, la crainte et la peur sont latents tout au long d'un récit plus tendu.
Je me suis sentie galvanisée par les modèles de courage que sont Lisandra et Eugénie. Si la première a tout risqué pour la liberté de vivre sa vie comme elle l'entendait, la seconde a pris exemple sur sa tante, allant même plus loin, car se battant pour le bien, le droit d'exister et la liberté. le message de l'autrice prend une tout autre ampleur et ses héroïnes, qui agissent « comme s'il était impossible d'échouer », sont un exemple à suivre. On en redemande.
Dans ce tome 2 intitulé « le réseau Drake », l'autrice nous plonge avec talent dans l'horreur de la seconde guerre mondiale. Si nous retrouvons les personnages du tome 1 vingt ans après, cette intrigue nous offre une nouvelle héroïne, Eugénie, encore plus flamboyante que ne l'était Lisandra. Une héroïne qui, au même âge que sa tante, gagnera Toulon pour vivre sa vie comme elle l'entend, en devenant apprentie dans un atelier de fabrication d'instruments de musique. Une passion qui amènera Eugénie à rencontrer Julien, mais qui lui ouvrira surtout les portes de sa destinée : devenir une résistante bravant tous les dangers au nom de la liberté…
Le sens du détail d'Eloïse Casbert trouve toute sa raison d'être dans ce très beau second tome dont l'histoire est magnifiée et gagne en densité grâce à son contexte historique. Cependant, la mécanique reste identique : Lisandra et Eugénie sont des esprits libres qui quittent la Corse à 19 ans, et sortent de leur zone de confort en gagnant le continent pour vivre de leur passion pour la musique. Une passion qui leur permettra de rencontrer l'amour et d'embrasser leur destin.
Dans ce tome 2, les petits défauts du tome 1 sont gommés, et le couple Eugénie/Julien devient aussi emblématique que celui formé par Lisandra et Uguet, voire plus fascinant encore, du fait de leur rôle de résistants. Comme le dit elle-même Eugénie dans le roman : « … une Leccia ne craque pas. » Les rebondissements s'enchaînent, la crainte et la peur sont latents tout au long d'un récit plus tendu.
Je me suis sentie galvanisée par les modèles de courage que sont Lisandra et Eugénie. Si la première a tout risqué pour la liberté de vivre sa vie comme elle l'entendait, la seconde a pris exemple sur sa tante, allant même plus loin, car se battant pour le bien, le droit d'exister et la liberté. le message de l'autrice prend une tout autre ampleur et ses héroïnes, qui agissent « comme s'il était impossible d'échouer », sont un exemple à suivre. On en redemande.
