Nico Bravo, tome 1 : Et le chien d'Hadès

“Dimensions parallèles… Une épée-robot-géant… des paninis aux humains… le monde est rond comme un cube…” Vous allez sûrement me demander, c'est quoi ces carabistouilles, il faut avouer que dans cette bande dessinée, nous allons suivre des aventures bien croquignolesques. Nico est employé dans l'échoppe de Vulcain, on y vend toutes sortes d'artefacts pour les Dieux et héros de toutes mythologies : épées magiques, grimoires au galimatias indéchiffrable, sprays anti-vampires, capes d'invisibilité et diverses poudres de Perlimpimpin. C'est un drôle de boulot où il faut parfois arbitrer une chicaya entre Dieux de différentes mythologies qui veulent s'attribuer les derniers éclairs en stock. Un jour, une descendante de Beowulf débarque, bien décidée à occire quelques monstres, comme Cerbère par exemple, le gardien des Enfers. Mais si on tue Cerbère, les ombres, fantômes et autres goules pourront s'échapper et envahir le monde des vivants. Nico, va suivre la jeune aventurière pour l'empêcher de réaliser une telle ganacherie, mais la bougresse s'emberlucoque obstinément, tuer Cerbère est son antienne, Nico ne la convaincra pas par une vaine logorrhée, alors passons à l'action ! Drôle, rocambolesque, picaresque, chargé de réparties saugrenues, c'est une joyeuse turlupinade échevelée, pleine de rebondissements, de situations abracadabrantesques et de rencontres incongrues.
Jarnicoton, cette bande dessinée est une mignardise éplapourdissante !