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Critique de Noctenbule
Impossible de ne pas tomber sous le charme du récit. Déjà avec la couverture avec un sourire charmeur d'un homme qui arrache sa chemise pour laisser voir un symbole mystérieux : un point d'interrogation à l'envers. Est-ce un point d'irrévérence? Un léger mélange de Batman et de Superman. D'ailleurs, il va y avoir des clins d'oeil à ces deux héros. Batman fera parti de la ligue des super-héros du futur et sa prendre une bonne déculotté par Mystery. Mais il y a un atout pour lui : son portefeuille. Et Superman, sera cité avec la fameuse scène ou une soucoupe volante s'écrase et que la femme espère que ce soit un enfant. Vous l'aurez compris, ici, ce n'est pas prise de tête mais plutôt bonne ambiance, humour et dérision.
Le dessin de Stivo est fun et dynamique. Les personnages sont plus en rondeur et chaleureux. Les couleurs sont pleines de peps et d'énergie. Il ne s'interdit rien ni rose fushia, ni le vert fluo et c'est tant mieux.
Le récit se structure en plusieurs récits comme si on avait regroupé plusieurs tomes sortis en presse pour être rassemblé en un tome solide pour bd. Encore un clin d'oeil aux comics plus classiques qui comme les mangas sont prépubliés dans des magazines. C'est très malin. Tout comme la scène en référence à une fameuse peinture de Hopper. Il y a d'autres choses comme le nom du super vilain, Eugène Grincher (grincheux) qui se nomme Geek où le laveur de vitre du futur, Bob qui devient agent secret et qui prend le nom d'agent 7 201. Il n'a peut-être pas le permis de tuer. Petite référence à Justin Bieber comme référence du futur (notre époque). Il fallait oser.
Les personnages sont haut en couleur et en caractère comment ne pas craquer? Comment résister à une femme qui veut faire sa place qui travaille dans un milieu machiste ? Comment résister à un super-héros qui s'ignore et qui prend confiance en lui pour sauver la planète ? On se rassure car il reste deux tomes dans lesquels se plonger.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..
Le dessin de Stivo est fun et dynamique. Les personnages sont plus en rondeur et chaleureux. Les couleurs sont pleines de peps et d'énergie. Il ne s'interdit rien ni rose fushia, ni le vert fluo et c'est tant mieux.
Le récit se structure en plusieurs récits comme si on avait regroupé plusieurs tomes sortis en presse pour être rassemblé en un tome solide pour bd. Encore un clin d'oeil aux comics plus classiques qui comme les mangas sont prépubliés dans des magazines. C'est très malin. Tout comme la scène en référence à une fameuse peinture de Hopper. Il y a d'autres choses comme le nom du super vilain, Eugène Grincher (grincheux) qui se nomme Geek où le laveur de vitre du futur, Bob qui devient agent secret et qui prend le nom d'agent 7 201. Il n'a peut-être pas le permis de tuer. Petite référence à Justin Bieber comme référence du futur (notre époque). Il fallait oser.
Les personnages sont haut en couleur et en caractère comment ne pas craquer? Comment résister à une femme qui veut faire sa place qui travaille dans un milieu machiste ? Comment résister à un super-héros qui s'ignore et qui prend confiance en lui pour sauver la planète ? On se rassure car il reste deux tomes dans lesquels se plonger.
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