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Critique de belette2911
Jamais encore, je n'avais lu un Marc Dacier… Mon père possédant quelques albums, je me suis piquée de curiosité et j'en ai lu un, le tout premier. Dehors, il faisait lourd, chaud, c'était après un repas en famille, ça tombait à point pour la digestion.
On ne va pas se leurrer, mais ça a mal vieilli ! Ce qui était normal pour des lecteurs des années 60, ne l'est plus pour ceux de 2022.
Marc Dacier est un jeune homme sympathique qui rêve d'être journaliste et après être arrivé à se faire engager dans un journal, il relève le défi du patron : accomplir un tour du monde en 4 mois, sans argent. le seul argent qu'il peut utiliser, c'est celui gagné durant son périple.
Dès le départ, les aventures arrivent, notre Marc tombant sur des crapules, des voleurs, des types malhonnêtes, bref, la totale !
Pourtant, comme dans toutes les bonnes bédés de cette époque, il va s'en sortir haut la main, de toutes les situations les plus inextricables (bon, il est le héros d'une série, s'il mourrait dès le départ, ce serait très con).
Que le héros d'une série s'en sorte, c'est tout ce qui a de plus normal, mais là, les auteurs ont été pécher des situations un peu trop rocambolesques, trop ultimes et cela devient redondant de voir notre héros arriver à s'en tirer sans soucis, tendant même la main à son ennemi qui essaya de le tuer, lui retendant encore la main après que ce salopard a encore essayé de le balancer à la flotte, au milieu des requins… Méchant qui, recevant la lumière, deviendra un gentil.
On ressent fort les principes en vigueur dans les bédés des années 60/70, où les méchants ne pouvaient pas mourir, devaient de repentir,... Que des bons sentiments.
Bon, pour une lecture d'un dimanche après-midi aux températures élevées, je ne demandais pas du hautement intellectuel, loin de là. Mais tout de même…
Ma découverte s'arrêtera-là, sauf si j'ai encore envie d'offrir du temps de cerveau disponible à mon cerveau…
On ne va pas se leurrer, mais ça a mal vieilli ! Ce qui était normal pour des lecteurs des années 60, ne l'est plus pour ceux de 2022.
Marc Dacier est un jeune homme sympathique qui rêve d'être journaliste et après être arrivé à se faire engager dans un journal, il relève le défi du patron : accomplir un tour du monde en 4 mois, sans argent. le seul argent qu'il peut utiliser, c'est celui gagné durant son périple.
Dès le départ, les aventures arrivent, notre Marc tombant sur des crapules, des voleurs, des types malhonnêtes, bref, la totale !
Pourtant, comme dans toutes les bonnes bédés de cette époque, il va s'en sortir haut la main, de toutes les situations les plus inextricables (bon, il est le héros d'une série, s'il mourrait dès le départ, ce serait très con).
Que le héros d'une série s'en sorte, c'est tout ce qui a de plus normal, mais là, les auteurs ont été pécher des situations un peu trop rocambolesques, trop ultimes et cela devient redondant de voir notre héros arriver à s'en tirer sans soucis, tendant même la main à son ennemi qui essaya de le tuer, lui retendant encore la main après que ce salopard a encore essayé de le balancer à la flotte, au milieu des requins… Méchant qui, recevant la lumière, deviendra un gentil.
On ressent fort les principes en vigueur dans les bédés des années 60/70, où les méchants ne pouvaient pas mourir, devaient de repentir,... Que des bons sentiments.
Bon, pour une lecture d'un dimanche après-midi aux températures élevées, je ne demandais pas du hautement intellectuel, loin de là. Mais tout de même…
Ma découverte s'arrêtera-là, sauf si j'ai encore envie d'offrir du temps de cerveau disponible à mon cerveau…
