>
Critique de everalice
"Moitié dandy, moitié ruffian", ainsi Sophie définit-elle Lord Longmore. Canaille virile, coquin au charme ensorcelant, celui qu'elle prend pour un charmant crétin n'aura de cesse, tout au long de l'histoire de cette deuxième soeur de la famille Noirot, de la mettre dans son lit.
Le tout orchestré dans la joie et la bonne humeur autour d'une intrigue serrée qui entremêle projets de mariage et survie de boutique : c'est un joyeux pêle-mêle, un charivari entraînant. le ton est alerte et insolent, drôle souvent (j'adore la scène des chevilles vues du bas de l'escalier), et en même temps sensuel (la scène des agrafes m'a rappelé celle du changement de costume dans le dernier des débauchés).
Les réparties badines fusent, la ronde des personnages s'agite avec allégresse et énergie, bref, je n'ai pas vu le temps passer. Autant dire que cette pure suite au tome 1, dans laquelle tout ce petit monde se ressent encore du scandale généré par le mariage de Marcelline avec le duc de Clevedon, m'a enchantée !
Vivement le tome 3, que je lirai certainement en VO, pour le plaisir de lire l'auteur dans sa langue.
Lien : http://leslecturesdeveralice..
Le tout orchestré dans la joie et la bonne humeur autour d'une intrigue serrée qui entremêle projets de mariage et survie de boutique : c'est un joyeux pêle-mêle, un charivari entraînant. le ton est alerte et insolent, drôle souvent (j'adore la scène des chevilles vues du bas de l'escalier), et en même temps sensuel (la scène des agrafes m'a rappelé celle du changement de costume dans le dernier des débauchés).
Les réparties badines fusent, la ronde des personnages s'agite avec allégresse et énergie, bref, je n'ai pas vu le temps passer. Autant dire que cette pure suite au tome 1, dans laquelle tout ce petit monde se ressent encore du scandale généré par le mariage de Marcelline avec le duc de Clevedon, m'a enchantée !
Vivement le tome 3, que je lirai certainement en VO, pour le plaisir de lire l'auteur dans sa langue.
Lien : http://leslecturesdeveralice..
