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Critique de Yvan_T
Nous sommes maintenant en 1929, tandis que Salvatore Lucania, alias Charlie "Lucky" Luciano, se remet lentement de ses blessures, il doit prendre une décision capitale qui déterminera sa future carrière de mafioso.
L'âge d'or de la prohibition pour les membres de la maffia vire vers une dépression suite au krach boursier de Wall Street de 1929. Néanmoins, grâce aux liquidités engrangées suites aux bénéfices du marché de l'alcool, la mafia parvient tout de même à resserrer son étreinte sur l'économie nationale.
Le désavantage de la prohibition et donc de ce deuxième cycle, est que l'on passe de petits truands locaux à des organisations criminelles à grande échelle. du coup on se perd un peu dans les (sur)noms et dans les différents clans. En plus, les protagonistes ont parfois tendance à se ressembler, ce qui ne facilite pas la lecture non plus.
En résumé, au niveau de l'histoire, on parvient à suivre que Joe Masseria se rapproche des Castellamarais. A la tête de cette famille, Don Cola Shiro a du mal à contenir la fougue du sicilien Salvatore Maranzano. La mort de Gaetano Reina (qui veut rejoindre le clan des Castellammarrese) va entraîner la plus grande guerre de clans que la mafia italo-américaine n'ait jamais connue. Au coeur de ces alliances, traîtrises et de cette vague de meurtres, un homme va devoir décider de l'histoire : Lucky Luciano.
A force de vouloir retracer rigoureusement le côté historique (avec documentation et références à l'appui en fin de tome comme d'habitude), Chauvel nous livre ici un tome légèrement indigeste où le lecteur à tendance à se perdre dans les clans, surnoms et lieux. D'un autre côté, le lecteur continuera d'apprécier la justesse historique, qui fait la force de cette série.
L'âge d'or de la prohibition pour les membres de la maffia vire vers une dépression suite au krach boursier de Wall Street de 1929. Néanmoins, grâce aux liquidités engrangées suites aux bénéfices du marché de l'alcool, la mafia parvient tout de même à resserrer son étreinte sur l'économie nationale.
Le désavantage de la prohibition et donc de ce deuxième cycle, est que l'on passe de petits truands locaux à des organisations criminelles à grande échelle. du coup on se perd un peu dans les (sur)noms et dans les différents clans. En plus, les protagonistes ont parfois tendance à se ressembler, ce qui ne facilite pas la lecture non plus.
En résumé, au niveau de l'histoire, on parvient à suivre que Joe Masseria se rapproche des Castellamarais. A la tête de cette famille, Don Cola Shiro a du mal à contenir la fougue du sicilien Salvatore Maranzano. La mort de Gaetano Reina (qui veut rejoindre le clan des Castellammarrese) va entraîner la plus grande guerre de clans que la mafia italo-américaine n'ait jamais connue. Au coeur de ces alliances, traîtrises et de cette vague de meurtres, un homme va devoir décider de l'histoire : Lucky Luciano.
A force de vouloir retracer rigoureusement le côté historique (avec documentation et références à l'appui en fin de tome comme d'habitude), Chauvel nous livre ici un tome légèrement indigeste où le lecteur à tendance à se perdre dans les clans, surnoms et lieux. D'un autre côté, le lecteur continuera d'apprécier la justesse historique, qui fait la force de cette série.
