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Critique de Biblioroz
Quoi de plus naturel que de se plonger dans un recueil de nouvelles de la Reine du crime pour satisfaire un besoin de distraction littéraire ?
Éditions françaises obligent, certaines nouvelles ont déjà été lues dans d'autres volumes mais peu importe finalement car ma petite tête ne peut retenir tous les détails et dénouements de la profusion d'énigmes dont Agatha Christie nous a gentiment gâtés.
Alors, innocent ou coupable ? L'avocat se doit de défendre son client, même si le témoignage de la femme de l'accusé est sans appel et condamne son mari à la potence.
Ou bien une riche malade, au coeur fragile, à laquelle on prescrit l'installation d'un ascenseur se voit également offrir un poste de radio par son neveu bien attentionné. La chère petite tante, réticente face à tous ces engins modernes aurait dû refuser tout ce progrès dont elle se méfiait. Et pourtant, quel plaisir finalement, une fois l'engin adopté, d'écouter paisiblement opéra ou concert, sauf quand Agatha s'empare de l'histoire…
Agatha jongle sur les apparences et fait immanquablement tomber une de ses balles là où on l'attend le moins et juste avant le point final.
Malgré les apparences, le surnaturel n'existe pas, il est juste travesti par la main humaine qui a toujours des besoins urgents et vitaux d'argent. La cupidité fait naître de fabuleuses idées pour accéder aux fortunes bien tentantes. Pour vivre sereinement et longtemps dans l'univers d'Agatha, mieux vaut être pauvre, et encore…
L'infatué Hercule Poirot garde la vedette dans cinq nouvelles.
Dans deux vaines tentatives de vacances, le détective qui a besoin de repos pour se remettre de sa trop grande notoriété nous confirme qu'il est toujours peine perdue de vouloir se reposer. Où arrive les moustaches du petit Belge, un meurtre ou un vol se prépare. Monsieur le détective se laisse d'ailleurs intriguer par un jeune homme se laissant justement pousser une piteuse moustache.
Il actionnera ses petites cellules grises face au charme d'une femme fatale, notera un évènement illogique dans un restaurant de bonne cuisine anglaise et ne se laissera pas berner par la scène théâtrale d'un richissime excentrique.
Un recueil d'Agatha c'est toujours une petite poignée d'heures agréables. On s'abandonne facilement dans ses mélis-mélos de faux-semblants, ses mises en scènes pleines d'imagination et ses chutes inattendues.
Éditions françaises obligent, certaines nouvelles ont déjà été lues dans d'autres volumes mais peu importe finalement car ma petite tête ne peut retenir tous les détails et dénouements de la profusion d'énigmes dont Agatha Christie nous a gentiment gâtés.
Alors, innocent ou coupable ? L'avocat se doit de défendre son client, même si le témoignage de la femme de l'accusé est sans appel et condamne son mari à la potence.
Ou bien une riche malade, au coeur fragile, à laquelle on prescrit l'installation d'un ascenseur se voit également offrir un poste de radio par son neveu bien attentionné. La chère petite tante, réticente face à tous ces engins modernes aurait dû refuser tout ce progrès dont elle se méfiait. Et pourtant, quel plaisir finalement, une fois l'engin adopté, d'écouter paisiblement opéra ou concert, sauf quand Agatha s'empare de l'histoire…
Agatha jongle sur les apparences et fait immanquablement tomber une de ses balles là où on l'attend le moins et juste avant le point final.
Malgré les apparences, le surnaturel n'existe pas, il est juste travesti par la main humaine qui a toujours des besoins urgents et vitaux d'argent. La cupidité fait naître de fabuleuses idées pour accéder aux fortunes bien tentantes. Pour vivre sereinement et longtemps dans l'univers d'Agatha, mieux vaut être pauvre, et encore…
L'infatué Hercule Poirot garde la vedette dans cinq nouvelles.
Dans deux vaines tentatives de vacances, le détective qui a besoin de repos pour se remettre de sa trop grande notoriété nous confirme qu'il est toujours peine perdue de vouloir se reposer. Où arrive les moustaches du petit Belge, un meurtre ou un vol se prépare. Monsieur le détective se laisse d'ailleurs intriguer par un jeune homme se laissant justement pousser une piteuse moustache.
Il actionnera ses petites cellules grises face au charme d'une femme fatale, notera un évènement illogique dans un restaurant de bonne cuisine anglaise et ne se laissera pas berner par la scène théâtrale d'un richissime excentrique.
Un recueil d'Agatha c'est toujours une petite poignée d'heures agréables. On s'abandonne facilement dans ses mélis-mélos de faux-semblants, ses mises en scènes pleines d'imagination et ses chutes inattendues.
