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Critique de Isacom
Amateurs, amatrices de jeux de mots grivois, de calembours égrillards et de contrepèteries coquines, ce petit recueil est fait pour vous. Elle s'en donne à coeur joie, Sara Cicero, à malicieusement détourner des expressions, retourner des paroles de chansons et contourner des proverbes, afin de nous clamer tout son intérêt pour la chose : "À la fin de l'émoi, je couche"
(Celle-ci est tout public.)
Mais la chair est triste parfois, quand l'aimé est loin ou n'aime plus, quand la rencontre amoureuse est ratée, et c'est alors une petite musique bien moins tonitruante mais tout aussi charmeuse qu'elle nous livre :
"Me promenant au parc j'espérais te croiser,
mais seul ton souvenir arpentait les allées"
Et dans toutes ses dimensions, c'est un panorama de la sexualité féminine après #metoo et avec consentement, libre et joyeuse, que nous donne cette précieuse poétesse du polisson.
Challenge Poévie
LC thématique d'octobre 2022 : "Le verbe haut !"
(Celle-ci est tout public.)
Mais la chair est triste parfois, quand l'aimé est loin ou n'aime plus, quand la rencontre amoureuse est ratée, et c'est alors une petite musique bien moins tonitruante mais tout aussi charmeuse qu'elle nous livre :
"Me promenant au parc j'espérais te croiser,
mais seul ton souvenir arpentait les allées"
Et dans toutes ses dimensions, c'est un panorama de la sexualité féminine après #metoo et avec consentement, libre et joyeuse, que nous donne cette précieuse poétesse du polisson.
Challenge Poévie
LC thématique d'octobre 2022 : "Le verbe haut !"
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