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Critique de florencem
Les second tomes sont souvent ceux qui font basculer l'histoire. Il y a toujours cette petite appréhension quand on décide de s'attaquer à la suite d'une oeuvre que l'on a vraiment appréciée. Car après l'introduction, c'est la trame principale qui se met en marche. Sans réelle surprise, ce tome deux ne laisse planer aucun doute : XXX Holic est un manga de qualité à de nombreux niveaux. Et les liens qui se tissent déjà avec Tsubasa Reservoir Chronicles ne font qu'augmenter ma curiosité et l'envie de poursuivre.
Nous avions quitté nos héros avec l'arrivée de Shaolan et de Sakura. Une fin de tome très intelligente, surtout vis-à-vis des fans des Clamp, car comment résister à pareille arrivée ? Les Clamp nous offrent ainsi un avant goût de Tsubasa Reservoir Chronicles (saga à lire en parallèle pour bien comprendre les deux univers) tout en laissant planer beaucoup de questions. C'est un peu frustrant, je vous l'accorde, mais clairement notre curiosité est piquée et on sent qu'il y a quelque chose de tellement énorme qui est en train de se jouer que l'excitation est aussi bien là.
Yuuko, par le biais des explications qu'elle donne à Watanuki nous explique ainsi la raison de la présence des deux héros de Sakura Card Captor et ce qu'ils vont devoir traverser par la suite. Rien de réjouissant à l'horizon, mais les caractères de Sakura et Shaolan font qu'on ne peut avoir que de l'espoir quant à leurs aventures futures. On a aussi l'occasion de découvrir deux personnages inédits (Kurogane et Fye qui ont déjà su me charmer) et deux personnages, diront nous "recyclés" (terme pas du tout péjoratif, bien au contraire) : Mokona et Modoki. Nous les avions déjà vu dans le tome 1 mais ils étaient à ce moment-là inertes et on ne peut pas vraiment dire que cela nous avait permis de prendre conscience de combien ces petites boules de poils sont adorables, désopilantes, gourmandes et pleine d'énergie. Leur simple présence rend tout de suite une scène drôle et c'est un très bon compromis pour un manga de ce genre.
Nous en apprenons aussi davantage sur Watanuki. Il a un côté "humoristique" en quelque sorte. Son côté très colérique est assez drôle, et comme Mokona, il apporte ainsi une dose de sourire et de dédramatisation de l'ambiance globale. Watanuki sort d'ailleurs très souvent de ses gons à cause de Domeki, un camarade de classe. Les deux garçons se crêpent régulièrement le chignon et c'en est assez drôle. On dirait presque un vieux couple qui se chamaille. Et je sens qu'il y a quelque chose de plus. Comme si la réaction de Watanuki était une sorte de défense par rapport à ce que représente Domeki. Pas dans le mauvais sens du terme par contre. Yuuko installe cette idée qu'il n'y a pas de coïncidence, et je ne peux pas m'enlever cette idée de la tête.
Domeki nous permet aussi d'en apprendre plus sur le monde de l'occulte. Yuuko nous en apprend déjà beaucoup, mais la présence de Domeki (qui a certains dons), pousse encore plus à entrer dans le monde du mysticisme et des croyances japonaises. Etant passionnée de la culture japonaise, je dois dire que ce manga a vraiment une touche "éducative" sur ce point-là. Si on ajoute aussi le fait que Yuuko est une encyclopédie de la culture pop japonaise, et qu'on a droit à un florilège de recettes traditionnelles japonaises, c'est encore plus un plaisir.
D'ailleurs en parlant de notre sorcière des dimensions, n'hésitez pas à bien regarder les tenures qu'elle arbore dans chaque tome. Elles sont plus magnifiques les unes que les autres. Un vrai régale pour les yeux ! Les Clamp ont vraiment un talent particulier en ce qui concerne les tenues de leurs personnages. Cela rappelle un peu les tenues de Sakura, dans un tout autre genre, plus sexy et adulte, mais j'aime beaucoup cette idée.
Nous avions quitté nos héros avec l'arrivée de Shaolan et de Sakura. Une fin de tome très intelligente, surtout vis-à-vis des fans des Clamp, car comment résister à pareille arrivée ? Les Clamp nous offrent ainsi un avant goût de Tsubasa Reservoir Chronicles (saga à lire en parallèle pour bien comprendre les deux univers) tout en laissant planer beaucoup de questions. C'est un peu frustrant, je vous l'accorde, mais clairement notre curiosité est piquée et on sent qu'il y a quelque chose de tellement énorme qui est en train de se jouer que l'excitation est aussi bien là.
Yuuko, par le biais des explications qu'elle donne à Watanuki nous explique ainsi la raison de la présence des deux héros de Sakura Card Captor et ce qu'ils vont devoir traverser par la suite. Rien de réjouissant à l'horizon, mais les caractères de Sakura et Shaolan font qu'on ne peut avoir que de l'espoir quant à leurs aventures futures. On a aussi l'occasion de découvrir deux personnages inédits (Kurogane et Fye qui ont déjà su me charmer) et deux personnages, diront nous "recyclés" (terme pas du tout péjoratif, bien au contraire) : Mokona et Modoki. Nous les avions déjà vu dans le tome 1 mais ils étaient à ce moment-là inertes et on ne peut pas vraiment dire que cela nous avait permis de prendre conscience de combien ces petites boules de poils sont adorables, désopilantes, gourmandes et pleine d'énergie. Leur simple présence rend tout de suite une scène drôle et c'est un très bon compromis pour un manga de ce genre.
Nous en apprenons aussi davantage sur Watanuki. Il a un côté "humoristique" en quelque sorte. Son côté très colérique est assez drôle, et comme Mokona, il apporte ainsi une dose de sourire et de dédramatisation de l'ambiance globale. Watanuki sort d'ailleurs très souvent de ses gons à cause de Domeki, un camarade de classe. Les deux garçons se crêpent régulièrement le chignon et c'en est assez drôle. On dirait presque un vieux couple qui se chamaille. Et je sens qu'il y a quelque chose de plus. Comme si la réaction de Watanuki était une sorte de défense par rapport à ce que représente Domeki. Pas dans le mauvais sens du terme par contre. Yuuko installe cette idée qu'il n'y a pas de coïncidence, et je ne peux pas m'enlever cette idée de la tête.
Domeki nous permet aussi d'en apprendre plus sur le monde de l'occulte. Yuuko nous en apprend déjà beaucoup, mais la présence de Domeki (qui a certains dons), pousse encore plus à entrer dans le monde du mysticisme et des croyances japonaises. Etant passionnée de la culture japonaise, je dois dire que ce manga a vraiment une touche "éducative" sur ce point-là. Si on ajoute aussi le fait que Yuuko est une encyclopédie de la culture pop japonaise, et qu'on a droit à un florilège de recettes traditionnelles japonaises, c'est encore plus un plaisir.
D'ailleurs en parlant de notre sorcière des dimensions, n'hésitez pas à bien regarder les tenures qu'elle arbore dans chaque tome. Elles sont plus magnifiques les unes que les autres. Un vrai régale pour les yeux ! Les Clamp ont vraiment un talent particulier en ce qui concerne les tenues de leurs personnages. Cela rappelle un peu les tenues de Sakura, dans un tout autre genre, plus sexy et adulte, mais j'aime beaucoup cette idée.
