La conclusion apparemment nihiliste de ce roman pourrait laisser entrevoir d'autres perspectives à condition de se placer ailleurs, par exemple en prenant comme référentiel la roue des âges en vertu de laquelle, à tout anéantissement succède nécessairement un renouvellement. Nécessité au nom d'un rien dont la révélation est toujours reportée à plus tard.
De ce roman lu en décembre 2019, je ne garde que des souvenirs épars, mais je sais que je le lisais alors dans un car qui me conduisait vers Bellegarde-sur-Valserine. Alors je me sentais en sympathie avec la fatigue apocalyptique de ce roman.
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