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Critique de GillesP
Comment lâcher ce livre avant les derniers mots de son épilogue dès lors qu'on aura lu la citation préliminaire, en première page ? :
Plus je connais les hommes,
plus j'aime mon chien.
Jules Renard
On ne s'étonnera pas, vu l'auteur, d'être plongés dans le Jura, avec son fameux vin jaune, et de voir arriver la guerre de 39-45 avec des évocations de la guerre précédente de 14-18. Et, comme dans 'Les grands malheurs', ce sont de simples gens du terroir qui affrontent des dilemmes politiques et profondément humains non réservés à une élite de philosophes.
Plus je connais les hommes,
plus j'aime mon chien.
Jules Renard
On ne s'étonnera pas, vu l'auteur, d'être plongés dans le Jura, avec son fameux vin jaune, et de voir arriver la guerre de 39-45 avec des évocations de la guerre précédente de 14-18. Et, comme dans 'Les grands malheurs', ce sont de simples gens du terroir qui affrontent des dilemmes politiques et profondément humains non réservés à une élite de philosophes.
