Le rats sont délicieux ou au moins c'est l'avis de l'auteur
James Clavell qui a passé deux ans dans le camp de prisonniers de guerre sur Changi (un l'île à l'est de Singapour) pendant la deuxième. "
King Rat" est un roman fortement autobiographe qui rend hommage aux détenus courageux qui avaient le courage et la volonté de survivre une situation infernale.
La cote "
King Rat" a toujours été très élevée chez les lecteurs qui s'intéressent à l'histoire parce que c'est un des rares témoignages d'un phénomène historique important. Pourtant, "
King Rat" est beaucoup plus. C'est aussi un plaidoyer contre le racisme et l'homophobie. Finalement c'est une critique féroce du système classe anglais. Aux yeux de
Clavell, les véritables ennemis des détenus n'étaient pas les Japonaise mais les officiers de l'armée britannique qui appliquaient les règles des Japonais.
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