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Critique de frankybee
Avec Player One, Ernest Cline fait entrer la dystopie dans le 21ème siècle.
L'OASIS est le produit naturel d'une civilisation petit à petit absorbée par la réalité virtuelle, l'intelligence artificielle et les réseaux sociaux numériques. Comme dans Blade Runner de Philip K. Dick, le monde décrit par Ernest Cline est devenu affreusement laid pour une majorité d'hommes réduits au rang de quasi-esclaves. Mais au lieu de fuir sur Mars, l'humanité a choisi de se réfugier dans l'OASIS, qui est en quelque sorte la réunion de l'ami Buster et de Mercer sous la forme d'une architecture informatique magistrale.
Les références incessantes aux années 1980 et à l'univers geek peuvent rebuter certains lecteurs, mais je trouve que ce roman est parfaitement rythmé et amène un vent de fraîcheur plutôt plaisant dans l'univers passionnant de la SF.
L'OASIS est le produit naturel d'une civilisation petit à petit absorbée par la réalité virtuelle, l'intelligence artificielle et les réseaux sociaux numériques. Comme dans Blade Runner de Philip K. Dick, le monde décrit par Ernest Cline est devenu affreusement laid pour une majorité d'hommes réduits au rang de quasi-esclaves. Mais au lieu de fuir sur Mars, l'humanité a choisi de se réfugier dans l'OASIS, qui est en quelque sorte la réunion de l'ami Buster et de Mercer sous la forme d'une architecture informatique magistrale.
Les références incessantes aux années 1980 et à l'univers geek peuvent rebuter certains lecteurs, mais je trouve que ce roman est parfaitement rythmé et amène un vent de fraîcheur plutôt plaisant dans l'univers passionnant de la SF.
