Rien a changé depuis les années 80, depuis la parution de ce livre. Je ne me souviens plus exactement ce que dit François de Clozet, mais l'idée phare, ce qu'il dénonce, la surconsommation, m'est restée. J'ai toujours été attiré, au contraire, par ce que je pourrais appeler le le dépouillement, l'épure, le vide, appelez ça comme vous voudrez ;
Influencé par d'autres cultures, japonaise entre autres, une certaine forme d'art, le vide façon bouddhiste zen. Les objets m'ont toujours étouffé. Besoin de vide autour de moi pour pouvoir réfléchir. Je revendique une certaine forme d'ascétisme. Alors ce livre ne pouvait que me séduire, déjà à 20 ans.
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