Harlan Coban est connu, très connu. Et riche, très riche. Et plus il est riche, plus il écrit mal ! Autant ses premiers livres étaient originaux, même si déjà on pouvait y déceler des tics de langage très énervants (je parle de la version originale mais la traduction française n'est pas en reste, avec "le garçon le plus populaire" et autres traductions littérales très médiocres), autant désormais il aligne les histoires sans aucun intérêt, écrites, pardonnez-moi l'expression, "avec les pieds". Je me suis fait violence pour terminer le livre car même si je n'aime pas, je tiens à aller jusqu'au bout pour me faire une opinion. Là, j'attendais (naïvement) un miracle qui ne s'est pas produit. Histoire sans queue ni tête, romance de l'avocate septuagénaire digne d'un roman d'Harlequin, fin hallucinante (les portes de l'embarquement se ferment et toi, l'inconnu dont on n'a rien compris à l'histoire, à savoir si tu as passé toute ta jeunesse dans une tente Quechua dans la forêt ou très peu de temps, tu peux acheter un billet et embarquer... Harlan, mettez vos mocassins et allez prendre l'air dans les forêts du New Jersey près de chez vous, ça rafraîchit le cerveau !
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