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Critique de Cielvariable
Roman jeunesse qui avait tout pour intriguer le lecteur, mais dont l'auteure ne pousse pas assez loin ni son histoire, ni la profondeur des personnages, ni les réflexions.
C'est l'histoire de Sara Black, seize ans, dont la vie bascule à la suite d'une série d'événements sur lesquels elle n'a aucun contrôle: la séparation de ses parents (sa mère les quitte pour suivre son amant à Paris), son père est de plus en plus aux prises avec des TOC sévères qu'il refuse de prendre assez au sérieux pour se faire soigner et Sara est catapultée dans une prestigieuse école secondaire de Boston où elle vient d'emménager avec son père (qui y est embauché comme concierge). Là‐bas, on retrouve la crème des étudiants: intelligents, issus de grandes familles fortunées, ayant des parents illustres. Extrêmement douée en math, Sara y est admise. Un peu par hasard (quiproquos que Sara s'abstient de démêler quant à ses origines, sa parenté ou son identité et qui grandiront jusqu'à devenir un tissu de mensonges que Sara a de plus en plus de mal à gérer), le personnage principal se retrouve à prendre de mauvaises décisions en série et cela l'entraînera à une fin prévisible et humiliante. Entre autre, Sara fait de sa mère une chef réputée partie pratiquer l'art culinaire à Paris, et invente la profession de neurochirurgien à son concierge de père, lui qui est aux prises avec un TOC de la propreté. Empêtrée dans ses fausses vérités, elle trouvera son existence de plus en plus pénible. Comme le veut le cliché de tout roman pour ados se déroulant dans une école secondaire, Sara va tout faire pour rester amie avec la gang des filles populaires mais mesquines qui vont la manipuler et se servir d'elle en échange d'un peu d'attention.
Bourré de clichés, de situations des plus prévisibles et d'une amourette peu vraisemblable en prime, ce roman ne convaincra aucun lecteur habitué au genre. Sans être complètement ennuyeux, le récit n'apporte rien d'intéressant au thème et n'est pas particulièrement captivant non plus.
C'est l'histoire de Sara Black, seize ans, dont la vie bascule à la suite d'une série d'événements sur lesquels elle n'a aucun contrôle: la séparation de ses parents (sa mère les quitte pour suivre son amant à Paris), son père est de plus en plus aux prises avec des TOC sévères qu'il refuse de prendre assez au sérieux pour se faire soigner et Sara est catapultée dans une prestigieuse école secondaire de Boston où elle vient d'emménager avec son père (qui y est embauché comme concierge). Là‐bas, on retrouve la crème des étudiants: intelligents, issus de grandes familles fortunées, ayant des parents illustres. Extrêmement douée en math, Sara y est admise. Un peu par hasard (quiproquos que Sara s'abstient de démêler quant à ses origines, sa parenté ou son identité et qui grandiront jusqu'à devenir un tissu de mensonges que Sara a de plus en plus de mal à gérer), le personnage principal se retrouve à prendre de mauvaises décisions en série et cela l'entraînera à une fin prévisible et humiliante. Entre autre, Sara fait de sa mère une chef réputée partie pratiquer l'art culinaire à Paris, et invente la profession de neurochirurgien à son concierge de père, lui qui est aux prises avec un TOC de la propreté. Empêtrée dans ses fausses vérités, elle trouvera son existence de plus en plus pénible. Comme le veut le cliché de tout roman pour ados se déroulant dans une école secondaire, Sara va tout faire pour rester amie avec la gang des filles populaires mais mesquines qui vont la manipuler et se servir d'elle en échange d'un peu d'attention.
Bourré de clichés, de situations des plus prévisibles et d'une amourette peu vraisemblable en prime, ce roman ne convaincra aucun lecteur habitué au genre. Sans être complètement ennuyeux, le récit n'apporte rien d'intéressant au thème et n'est pas particulièrement captivant non plus.
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