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Critique de Borntobealivre
Si vous ne connaissez pas Rachel Carson, emparez-vous de ce livre !
Écrivaine et scientifique, surnommée « la mère de l'écologie », elle est aujourd'hui considérée comme une des premières lanceuses d'alerte pour avoir dénoncé les méfaits des pesticides, et en particulier, du DDT, un produit chimique utilisé notamment dans l'agriculture comme insectide. Entre mille autres choses, c'est à elle que nous devons le magnifique « Printemps silencieux ».
Nous la suivons avec passion, grandir, évoluer, se confronter aux épreuves et aux drames de la vie. En commençant, bien sûr, par son enfance dans une ferme de Pennsylvanie entourée de ses parents, son frère et sa soeur. Déjà, sa curiosité immense pour la nature et ses merveilles nous fascine, les heures qu'elle passe à noircir des pages d'écriture nous sidèrent. Puis, nous voici plongés dans sa vie d'étudiante, assistons à son coup de foudre pour la biologie. Et pour celle qui l'aura poussée à apprendre toujours plus. Dans son entrée dans la vie active, où nous souffrons avec elle des difficultés auxquelles se heurte cette femme dans « un monde d'hommes », de sa déception de voir ses premières publications passer inaperçues...
J'ai lu ce livre avec un très grand plaisir, heureuse d'en apprendre plus sur le destin de cette femme extraodinaire. La plume d'Isabelle Collombat est agréable, fluide. On sent que la personnalité de Rachel Carson la fascinait. J'ai cependant regretté qu'une part plus importante n'ait pas été accordée à ses combats pour la cause écologiste, pour l'interdiction du DDT (ces passages m'ont semblé vraiment survolés). Nous en apprenons plus sur sa vie familiale, sur son entourage proche, sur sa relation extrêmement forte avec sa mère, que sur les raisons pour lesquelles elle est un symbole de la cause écologique, aujourd'hui. Malgré cette réserve, ce moment de lecture fut un véritable bonheur.
Écrivaine et scientifique, surnommée « la mère de l'écologie », elle est aujourd'hui considérée comme une des premières lanceuses d'alerte pour avoir dénoncé les méfaits des pesticides, et en particulier, du DDT, un produit chimique utilisé notamment dans l'agriculture comme insectide. Entre mille autres choses, c'est à elle que nous devons le magnifique « Printemps silencieux ».
Nous la suivons avec passion, grandir, évoluer, se confronter aux épreuves et aux drames de la vie. En commençant, bien sûr, par son enfance dans une ferme de Pennsylvanie entourée de ses parents, son frère et sa soeur. Déjà, sa curiosité immense pour la nature et ses merveilles nous fascine, les heures qu'elle passe à noircir des pages d'écriture nous sidèrent. Puis, nous voici plongés dans sa vie d'étudiante, assistons à son coup de foudre pour la biologie. Et pour celle qui l'aura poussée à apprendre toujours plus. Dans son entrée dans la vie active, où nous souffrons avec elle des difficultés auxquelles se heurte cette femme dans « un monde d'hommes », de sa déception de voir ses premières publications passer inaperçues...
J'ai lu ce livre avec un très grand plaisir, heureuse d'en apprendre plus sur le destin de cette femme extraodinaire. La plume d'Isabelle Collombat est agréable, fluide. On sent que la personnalité de Rachel Carson la fascinait. J'ai cependant regretté qu'une part plus importante n'ait pas été accordée à ses combats pour la cause écologiste, pour l'interdiction du DDT (ces passages m'ont semblé vraiment survolés). Nous en apprenons plus sur sa vie familiale, sur son entourage proche, sur sa relation extrêmement forte avec sa mère, que sur les raisons pour lesquelles elle est un symbole de la cause écologique, aujourd'hui. Malgré cette réserve, ce moment de lecture fut un véritable bonheur.
