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Critique de Taraxacum
Un polar sur le thème du terrorisme et des bombes sales dont j'ai assez aimé l'intrigue, et ses retournements de situation. La police vient de retrouver le cadavre d'un homme sur un belvédère surplombant la ville. Exécuté d'une balle dans la tête, ce qui est déjà de quoi intéresser fortement la police, mais voilà, le monsieur avait en plus accès à toutes les matières radioactives des hôpitaux de la région, et l'intrigue s'en emballe...
Bon, je suis par contre prête à avouer qu'Harry Bosch, je ne le trouve pas plus époustouflant que dans ce que j'avais déjà lu de ses aventures: le flic solitaire au caractère de cochon, qui enjambe sa hiérarchie et a son propre code d'honneur, et aucune femme stable dans sa vie...et bien disons qu'il n'a rien de très novateur.
Non, vraiment ce que j'ai aimé, c'est le retournement final de situation, mais comment voulez-vous parler de cela dans une critique! C'est tout de même un bon polar, pas parfait, mais avec sa dose de suspense et juste ce qu'il faut pour dévorer à cette saison, qu'il fasse beau et qu'on le feuillette sur la plage ou que le temps ne soit pas clément et qu'on s'en console sous un plaid avec un roman!
Bon, je suis par contre prête à avouer qu'Harry Bosch, je ne le trouve pas plus époustouflant que dans ce que j'avais déjà lu de ses aventures: le flic solitaire au caractère de cochon, qui enjambe sa hiérarchie et a son propre code d'honneur, et aucune femme stable dans sa vie...et bien disons qu'il n'a rien de très novateur.
Non, vraiment ce que j'ai aimé, c'est le retournement final de situation, mais comment voulez-vous parler de cela dans une critique! C'est tout de même un bon polar, pas parfait, mais avec sa dose de suspense et juste ce qu'il faut pour dévorer à cette saison, qu'il fasse beau et qu'on le feuillette sur la plage ou que le temps ne soit pas clément et qu'on s'en console sous un plaid avec un roman!
