Décidément
M. Connelly est bien fatigué. Intrigues filandreuses à la résolution laborieuse au prix de facilités invraisemblables, ses derniers romans sont loin du niveau des enquêtes du seul H. Bosch. On savait déjà Connelly peu à l'aise pour construire des personnages féminins (
Cassie Black p ex). R. Ballard n'échappe pas à la règle. On sent la contrainte marketing dans l'air du temps : personnage nécessairement féminin, résiliente et en butte aux agressions masculines. Sauf qu'elle peine à exister. C'est plutôt un ectoplasme.
C'est un crève coeur mais je crois que je ferai désormais l'impasse sur les prochains romans de
M. ConnellyCommenter  J’apprécie         50