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Critique de bdelhausse
Suite à des manipulations sur le climat, l'Europe est coincée sous la neige. Les pays extérieurs ont alors construit des murs électromagnétiques pour empêcher les habitants de l'Europe d'en sortir. Douze portes percent les murs. Chacune possède une clé. Celles-ci sont possédées par 12 gardiens. Parmi ces gardiens, il y a Northman qui a recueilli et élevé Neige, un enfant devenu quasi adulte. Il l'a formé au combat et à la survie, mais lui a caché son passé et les enjeux des murs et des clés. le tome 2 voyait Neige lever le voile sur une partie de son passé, en découvrant l'homme qui avait tué ses parents.
Voici arrivé, peu à peu, le moment d'autres révélations. Mais en même temps, l'Extérieur se réveille et envoie des tueurs afin d'éliminer les 12 et de récupérer les clés. C'est l'aube rouge, selon le nom de code.
Ce tome voit Neige se diriger vers le n°2, l'Ecossais, afin de récupérer sa clé. Ce colosse dirige un camp qui essaie d'accueillir tout le monde. En même temps, il garde des animaux d'un zoo, suscitant l'envie et la colère des pauvres gens recuillis, mais qui ont faim et ne comprennent pas que l'on nourrisse des animaux au lieu de les manger. le campement est lourdement armé et protégé et tient les bandes de Horsains à distance. La clé de cette défense est Cueille-la-Mort, un maître de guerre, masqué et caparaçonné, qui vit son statut avec peine, comptant ses victimes, priant pour elles, récitant les Fleurs du Mal... et nourrissant d'étranges desseins...
Convard était particulièrement prolixe dans les années 80 et 90. Il signe ici une série de SF particulièrement fascinante. On pense beaucoup à Hermann dans ce tome, surtout vu le côté "cour des miracles" constitué par les bandes de brigands, les Horsains, que l'on croirait sortis d'un tabelau de Bruegel ou de Bosch.
Voici arrivé, peu à peu, le moment d'autres révélations. Mais en même temps, l'Extérieur se réveille et envoie des tueurs afin d'éliminer les 12 et de récupérer les clés. C'est l'aube rouge, selon le nom de code.
Ce tome voit Neige se diriger vers le n°2, l'Ecossais, afin de récupérer sa clé. Ce colosse dirige un camp qui essaie d'accueillir tout le monde. En même temps, il garde des animaux d'un zoo, suscitant l'envie et la colère des pauvres gens recuillis, mais qui ont faim et ne comprennent pas que l'on nourrisse des animaux au lieu de les manger. le campement est lourdement armé et protégé et tient les bandes de Horsains à distance. La clé de cette défense est Cueille-la-Mort, un maître de guerre, masqué et caparaçonné, qui vit son statut avec peine, comptant ses victimes, priant pour elles, récitant les Fleurs du Mal... et nourrissant d'étranges desseins...
Convard était particulièrement prolixe dans les années 80 et 90. Il signe ici une série de SF particulièrement fascinante. On pense beaucoup à Hermann dans ce tome, surtout vu le côté "cour des miracles" constitué par les bandes de brigands, les Horsains, que l'on croirait sortis d'un tabelau de Bruegel ou de Bosch.
