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Critique de terrystad


On connaît Copi surtout pour ses bandes dessinées et moins pour ce qu'il a écrit. Voici l'Uruguayen.

« Les uruguayens prononcent en moyenne 3 mots par jour, et encore! »

Que veut-il dire par cela? Que les argentins déblatèrent trop?


« Lorsque 2 d'entre eux prononcent habituellement le même mot, ils deviennent « hermanos de sangre ».

Euh, bien sûr, pour une petite drôlerie, l'uruguayen devient un ami. La simplicité du pays, sûr!


« En rentrant de la plage je me suis aperçu que les rues avaient changé de place (…) enfin (…) le vent ici n'arrête jamais et les dunes n'arrêtent pas de changer de place ».

Oui, en effet, il vente en Uruguay!

Tout cela pour dire que si on connaît un peu l'Uruguay, il sera plus aisé de lire ce livre qui est tout proche du délire. du passé militaire et dictatoriale du pays où, pour un oui ou pour un non, on pouvait mourir pour rien, à la merci des caprices et des folies.

Texte court, presqu'une nouvelle.
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