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Critique de mikaelunvoas


Rien que le titre me rend nostalgique. Ayant passé quelques mois dans un village isolé sur le bords du Maroni, je me suis senti à nouveau au pays des bushinenge, des djukas. L'avion, c'est vrais, à chaque fois que tu le prends tu es saisi d'une contemplation de la forêt verte immense balafrée par endroit par les mines d'orpailleur. Gaëlle, "le choc" qu'elle décrit je l'ai ressenti aussi. Les histoires qui suivent nous rappellent la solidarité des piroguiers du Maroni, oui une fois que vous vivez la-bas, on vous appelle les gens du fleuve. Après il y a aussi des choses tristes comme les suicides évoqués dans une des histoires, ou étranges comme les crises de baklou (qui touchent certaines heures filles) et puis les histoires de bar, parce que le soir, il n'y pas grand chose à faire alors tout le monde s'y retrouve.
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