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Critique de Meygisan
La réflexion est poussé encore plus dans ce tome d'autant que le scénario offre son lot de révélations qui ne peut laisser indifférent. L'humanité et la liberté en sont le coeur, et surtout quel rôle joue l'humanité dans sa propre liberté et dans la restriction de celle ci. La véritable démocratie n'est elle pas finalement que virtuelle? Et donc la liberté n'est t'elle pas qu'illusoire? N'est t'elle pas fabriquée de toutes pièces?
Corbeyran pose également la question de la responsabilité dans cette oeuvre. Inutile de chercher chez les grandes puissances, la responsabilité de notre misérable condition humaine, de notre médiocrité puisque c'est nous mêmes qui la voulons, la créons et l'entretenons, et qu'il est évident que nous nous y complaisons.
Il reste alors l'espoir que les esprits s'éveillent petit à petit, individuellement puis collectivement. Et l'éveil des conscience n'est t'elle pas en soi une révolution, qui mènera au changement...?
Corbeyran pose également la question de la responsabilité dans cette oeuvre. Inutile de chercher chez les grandes puissances, la responsabilité de notre misérable condition humaine, de notre médiocrité puisque c'est nous mêmes qui la voulons, la créons et l'entretenons, et qu'il est évident que nous nous y complaisons.
Il reste alors l'espoir que les esprits s'éveillent petit à petit, individuellement puis collectivement. Et l'éveil des conscience n'est t'elle pas en soi une révolution, qui mènera au changement...?
