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Critique de tchouk-tchouk-nougat


La ville d'Anderion renait de ses cendres après avoir été détruite et la guilde des assassins veut absolument s'y implanter durablement au nez et à la barbe de l'ordre des inquisiteurs. Pour cela Neferis, à la tête de la guilde, donne des pouvoirs terrifiant à Elyes qui, secondé par son ami de toujours Saheek, va placer ses pions.

Une histoire particulièrement machiavélique qui va montrer à quel point Neferis est prête à tout pour ses ambitions, y compris à sacrifier quelques pions parmi les plus fidèles.
Malgré cela je n'ai pas été plus emballée que ça par l'histoire. Je n'ai pas réussi à ressentir d'empathie pour les deux hommes de l'histoire : Elyes et Saheek. On nous dit qu'ils sont des meilleurs amis, qu'ils se font confiance, qu'ils ont tout vécu ensemble. Et pourtant on en ressent jamais cela au court du récit ce qui fait que ce qui aurait du nous paraitre tragique et horrible, cette destruction lente de ce lien, nous est finalement un peu indiffèrent. C'est vraiment dommage. Peut être y a t-il trop de texte et pas assez de dialogues et d'interactions entre les personnages. Peut être le dessin un peu froid et figé n'aide pas non plus à nous plonger dans les sentiments.
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