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Critique de bdelhausse
Parfaitement intitulé, ce 3è tome nous montre la lente descente de Jérôme de Morelune. Obnubilé par Violhaine, il délaisse son palais et sa charge, ne voyant pas les complots qui l'entourent et le fait que toute sa cour est maintenant acoquinée avec le Prince Malik, son cousin.
En contrepoint de la dégringolade du Prince de Mortelune, suffisamment superficiel pour se consoler en se regardant dans un miroir ou presque, le Café du Port est pris d'assaut et disparaît sous les flammes boutées par le prophète, à la solde de Malik.
Les fugitifs s'en vont par les égouts de Paris, rencontrant au passage un employé de la RATP, aussi fou que le reste, mais malheureusement éphémère.
La mise en couleur est plus agressive, moins pastel, signe que les temps changent. Quelques bribes d'humour à froid parsèment l'ouvrage, toutefois moins convaincant que les 2 premiers.
En contrepoint de la dégringolade du Prince de Mortelune, suffisamment superficiel pour se consoler en se regardant dans un miroir ou presque, le Café du Port est pris d'assaut et disparaît sous les flammes boutées par le prophète, à la solde de Malik.
Les fugitifs s'en vont par les égouts de Paris, rencontrant au passage un employé de la RATP, aussi fou que le reste, mais malheureusement éphémère.
La mise en couleur est plus agressive, moins pastel, signe que les temps changent. Quelques bribes d'humour à froid parsèment l'ouvrage, toutefois moins convaincant que les 2 premiers.
