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Critique de PhilippeCastellain
Il y a toujours un peu de tristesse à constater qu'un livre de son enfance est tombé dans l'oubli. C'est le cas de ce spin-off du 'Pont de la rivière Kwaï' – comme l'essentiel de sa collection, il faut dire. Dommage, car il était bien agréable à lire, tant par son écriture que son papier épais.
Des années après, un homme repart à la recherche d'un ami mort. Ils étaient aviateurs en Birmanie pendant la guerre ; son camarade a été abattu, fait prisonnier ; est mort avec des centaines d'autres sur les poutres du pont de la rivière Kwaï. du moins le pensait-on. Des membres des tribus thaï, qui eux aussi ont travaillé sur le chantier, l'entraînent dans une quête à travers la jungle...
Il y a de l'amitié, des forêts impénétrables regorgeant de secrets et de bêtes fauves, une nature vivante et dangereuse. Quelque chose qu'on peine à se représenter aujourd'hui, où elle paraît si fragile. Une lecture agréable, de celles qui font voyager un enfant et reposent un adulte.
Des années après, un homme repart à la recherche d'un ami mort. Ils étaient aviateurs en Birmanie pendant la guerre ; son camarade a été abattu, fait prisonnier ; est mort avec des centaines d'autres sur les poutres du pont de la rivière Kwaï. du moins le pensait-on. Des membres des tribus thaï, qui eux aussi ont travaillé sur le chantier, l'entraînent dans une quête à travers la jungle...
Il y a de l'amitié, des forêts impénétrables regorgeant de secrets et de bêtes fauves, une nature vivante et dangereuse. Quelque chose qu'on peine à se représenter aujourd'hui, où elle paraît si fragile. Une lecture agréable, de celles qui font voyager un enfant et reposent un adulte.
