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Critique de lunch
Luuna est sur le point d'être initiée, et comme le veut la tradition Paumanok, cette nuit sera la sienne, et elle rencontrera son totem.
Seulement voilà, la nuit de pleine lune appartient à Unkui, le dieu maléfique. Malgré la protection offerte par Hohapah l'esprit de l'arbre, Unkui veut la Paumanok et impose ses conditions : elle sera sienne une nuit tous les 28 jours. Mais cette nuit-là sera terrible...
Voilà, alors que le tome 6 vient ouvrir un nouveau cycle des aventures de Luuna, je rouvre le tome 1 de ma bibliothèque. Une envie soudaine de me replonger dans le mainstream de la BD Soleil (Hum ^^).
Avouons-le, Luuna n'est pas un chef-d'oeuvre. Mais force est de remarquer quand même que la série sort un peu du lot "Celtique, pirates, fantasy" que l'éditeur à pour habitude de nous faire ingurgiter à la pelle.
La suite à lire sur BenDis...
Lien : http://bendis.uldosphere.org..
Seulement voilà, la nuit de pleine lune appartient à Unkui, le dieu maléfique. Malgré la protection offerte par Hohapah l'esprit de l'arbre, Unkui veut la Paumanok et impose ses conditions : elle sera sienne une nuit tous les 28 jours. Mais cette nuit-là sera terrible...
Voilà, alors que le tome 6 vient ouvrir un nouveau cycle des aventures de Luuna, je rouvre le tome 1 de ma bibliothèque. Une envie soudaine de me replonger dans le mainstream de la BD Soleil (Hum ^^).
Avouons-le, Luuna n'est pas un chef-d'oeuvre. Mais force est de remarquer quand même que la série sort un peu du lot "Celtique, pirates, fantasy" que l'éditeur à pour habitude de nous faire ingurgiter à la pelle.
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