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Critique de Letreetratures
Avant de vous parler du roman, je voudrais d'abord féliciter Aurélie pour la qualité de son ouvrage. La couverture est magnifique et colle tellement à l'esprit du livre : sororité, féminité, mise à l'épreuve, nature, pouvoir, entre autres. Combien de fois ai-je passé ma main sur cette couverture pour en sentir les reliefs, ou simplement le sentiment de me connecter à cette histoire. Les dessins soulignent le texte puissamment, sont également d'une extrême finesse, et tout en sobriété.
Et puis la Bretagne, ma région, celle de l'autrice, celle des protagonistes. Quel plaisir d'y plonger dans les années 1600 et d'en arpenter les chemins.
Pour avoir déjà lu un roman d'Aurélie, je savais que j'aimerais la relire. Mais sa trilogie Les Imparfaits n'est pas mon genre de prédilection. Nous en avions parlé ensemble. Et elle m'avait dit à l'époque que celui-ci me plairait sûrement.
Aurélie, tu avais raison !
J'ai adoré te lire. Ma lecture a été tellement fluide car déjà accro au texte dès les premières lignes. Rozenn est de loin mon personnage préféré, même si Gus ne démérite pas. Sa douceur, sa jeunesse, ses émotions, son amour des autres, son courage et sa force, voilà tout ce que j'ai aimé chez elle.
Du roman, c'est toute l'histoire qui m'a tenu en haleine. Cette mère qui n'en a que le nom et qui n'agit que par intérêt, l'amour de Gus, les obligations de cette jeunesse soumise à la hiérarchie des classes, la chasse aux sorcières, les amours impossibles, la part ésotérique et la voix des morts… Tout concourt à en faire une belle lecture. L'intrigue est finement ciselée.
Il rejoint ma bibliothèque d'ouvrages auto-édités avec une petite pointe de nostalgie comme si je quittais une amie chère. D'ailleurs, je crois que je vais le prêter à une amie…
Lisez-le !
Votre dévouée lectrice (je trouve que cette formule va fort bien avec le livre !)
Et puis la Bretagne, ma région, celle de l'autrice, celle des protagonistes. Quel plaisir d'y plonger dans les années 1600 et d'en arpenter les chemins.
Pour avoir déjà lu un roman d'Aurélie, je savais que j'aimerais la relire. Mais sa trilogie Les Imparfaits n'est pas mon genre de prédilection. Nous en avions parlé ensemble. Et elle m'avait dit à l'époque que celui-ci me plairait sûrement.
Aurélie, tu avais raison !
J'ai adoré te lire. Ma lecture a été tellement fluide car déjà accro au texte dès les premières lignes. Rozenn est de loin mon personnage préféré, même si Gus ne démérite pas. Sa douceur, sa jeunesse, ses émotions, son amour des autres, son courage et sa force, voilà tout ce que j'ai aimé chez elle.
Du roman, c'est toute l'histoire qui m'a tenu en haleine. Cette mère qui n'en a que le nom et qui n'agit que par intérêt, l'amour de Gus, les obligations de cette jeunesse soumise à la hiérarchie des classes, la chasse aux sorcières, les amours impossibles, la part ésotérique et la voix des morts… Tout concourt à en faire une belle lecture. L'intrigue est finement ciselée.
Il rejoint ma bibliothèque d'ouvrages auto-édités avec une petite pointe de nostalgie comme si je quittais une amie chère. D'ailleurs, je crois que je vais le prêter à une amie…
Lisez-le !
Votre dévouée lectrice (je trouve que cette formule va fort bien avec le livre !)
