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Critique de rugi
En 1933, à 28 ans, Mathilde dirige la coutellerie familiale à
Laguiole, dans l'Aveyron. Lorsqu'elle est choisie pour fabriquer un couteau d'exception pour le président de la République Albert Lebrun, des journalistes parisiens, séduits par sa personnalité exceptionnelle, découvrent et vantent son talent...
Il faut aimer les romans du terroir pour savourer ce livre.
Certes, il y a quelques longueurs mais dans l'ensemble ça se lit bien et on a hâte de connaître le destin de Mathilde. Et comme elle dirige la coutellerie, (en plus c'est une femme dans un domaine très masculin) les jalousies des hommes ne vont pas tarder à apparaître.
Laguiole, dans l'Aveyron. Lorsqu'elle est choisie pour fabriquer un couteau d'exception pour le président de la République Albert Lebrun, des journalistes parisiens, séduits par sa personnalité exceptionnelle, découvrent et vantent son talent...
Il faut aimer les romans du terroir pour savourer ce livre.
Certes, il y a quelques longueurs mais dans l'ensemble ça se lit bien et on a hâte de connaître le destin de Mathilde. Et comme elle dirige la coutellerie, (en plus c'est une femme dans un domaine très masculin) les jalousies des hommes ne vont pas tarder à apparaître.
