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Critique de Nanako-Mai
A l'instar de "Croc-Blanc", "Bari, chien-loup" est une lecture d'enfance que j'avais à coeur de redécouvrir.
Je me souviens y a voir appris quelques mots indiens ("cree" plus précisément), qui me sont toujours restés au fil du temps. J'avais adoré l'ambiance de ce livre, la témérité et le courage de la jeune squaw, la fidélité de Bari et sa soif de vengeance, la vie reculée et sauvage en pleine terre du Nord, la menace oppressante du facteur du Lac Bain (vraiment menaçant dans mon jeune esprit)... Ce n'est pas grand chose, mais j'avais également aimé le fait que tous les animaux rencontrés par Bari aient un nom, et que ce nom indien ait une signification.
Je n'ai jamais lu l'histoire de Kazan, père de Bari, et je me laisserais finalement bien tenter par l'aventure...
Avec le recul cependant, je me rends compte surtout que la fin est un peu "gnangnan" mais dans l'ensemble, ce fût une relecture fort agréable qui m'a replongée dans le passé. Ah, nostalgie quand tu nous tiens...
Je me souviens y a voir appris quelques mots indiens ("cree" plus précisément), qui me sont toujours restés au fil du temps. J'avais adoré l'ambiance de ce livre, la témérité et le courage de la jeune squaw, la fidélité de Bari et sa soif de vengeance, la vie reculée et sauvage en pleine terre du Nord, la menace oppressante du facteur du Lac Bain (vraiment menaçant dans mon jeune esprit)... Ce n'est pas grand chose, mais j'avais également aimé le fait que tous les animaux rencontrés par Bari aient un nom, et que ce nom indien ait une signification.
Je n'ai jamais lu l'histoire de Kazan, père de Bari, et je me laisserais finalement bien tenter par l'aventure...
Avec le recul cependant, je me rends compte surtout que la fin est un peu "gnangnan" mais dans l'ensemble, ce fût une relecture fort agréable qui m'a replongée dans le passé. Ah, nostalgie quand tu nous tiens...
