DOA sait de quoi il parle. Cela ne fait aucun doute qu'il maitrise à la perfection le milieu dans lequel se passe le premier tome de son roman.
Cela donne des moments d'une intensité inégalée, du pur plaisir de lecture.
Dommage qu'il ai besoin de 1800 pages pour nous raconter sont histoire. Et oui à la fin des 800 pages du premier tome rien n'est finit, tout reste en suspend. C'est d'autant plus énervant que je doute que les nombreuses intrigues parallèle soit indispensable à l'avancé de l'intrigue principale...
Bref je ne suis pas sur de partir à l'assaut du second tome de cette saga...
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