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Critique de NinaMarquez


Ouvrir un livre, c'est commencer un voyage : alors pourquoi pas Florence ? Justement, en novembre 1613, un invité inattendu débarque en Toscane, à la cour de Cosme II de Médicis. C'est un prince du Liban qui foule le Ponte Vecchio. Venu pour quelques mois, Faccardino, son surnom italien, restera cinq ans en Italie. Aucun livre d'histoire ne relate ce fait : or, ces cinq années métamorphosent cet homme et la face du Levant. Ce prince découvre, à la cour des Médicis, une cité splendide dotée d'une architecture élégante et innovante. Il côtoie des artistes, des savants, les plus grands penseurs européens. En goûtant au calice de la beauté, ce prince, aussi légendaire en Orient que peut l'être Laurent le Magnifique à Florence, rapporte sur ses terres le raffinement et l'amour des arts. A l'égal des Médicis, il apporte paix et prospérité au Liban dont il est le fondateur. Son règne éclaire quatre décennies de splendeurs. Or, derrière le masque de cet homme se cache une autre vie. Une autre histoire. Qui, bien sûr, emporte tout, même le lecteur.
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